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En cover de "CINE REVUE" magazine... (de haut en bas) Pier ANGELI / Raquel WELCH / Brigitte BARDOT / Audrey HEPBURN / Gina LOLLOBRIGIDA / Marilyn MONROE / Claudia CARDINALE / Elke SOMMER / NAISSANCE DU MAGAZINE / Tout a commencé grâce à deux hommes, Jean LEEMPOEL et Joe Van COTTOM. Pendant la guerre de 1940 la parution du journal « Théâtra Revue », dont l'éditeur était Jean LEEMPOEL, fut interrompue. Après ces années difficiles, les deux hommes décidèrent de relancer le journal sous une nouvelle formule qui allait faire rêver toute la Belgique mais aussi d'autres pays. Ils créèrent un magazine qui allait parler des plus grandes stars du cinéma. A cette fin, Jean LEEMPOEL engagea Joe Van COTTOM en tant que rédacteur en chef et le 13 octobre 1944, ils fondèrent, « Théâtra Ciné Revue » qui, très rapidement, devint « Ciné Revue ». Le succès du nouveau magazine fut immédiat. Cet hebdomadaire belge s'imposa rapidement dans plusieurs pays étrangers et principalement en France. L'idée de génie des deux hommes fut d'axer le magazine sur le cinéma américain et d'envoyer Joe Van COTTOM régulièrement à Hollywood. Il fut l'un des premiers journalistes européens à débarquer Outre-Atlantique et les américains lui déroulèrent « le tapis rouge ». Cela lui permit de rencontrer les plus grandes stars du cinéma de l'époque telles que Marilyn MONROE, John WAYNE, Charlie CHAPLIN, Walt DISNEY, Robert MITCHUM, Spencer TRACY, Kirk DOUGLAS, Elizabeth TAYLOR, Grace KELLY et bien d'autres monstres sacrés dont certains furent mêmes ses amis. Grâce à ses liens si forts avec les vedettes, "CINE REVUE" fit ainsi rêver des générations entières en racontant dans ses pages la vie extraordinaire des plus grandes étoiles du cinéma.

En cover de "CINE REVUE" magazine... (de haut en bas) Pier ANGELI / Raquel WELCH / Brigitte BARDOT / Audrey HEPBURN / Gina LOLLOBRIGIDA / Marilyn MONROE / Claudia CARDINALE / Elke SOMMER / NAISSANCE DU MAGAZINE / Tout a commencé grâce à deux hommes, Jean LEEMPOEL et Joe Van COTTOM. Pendant la guerre de 1940 la parution du journal « Théâtra Revue », dont l’éditeur était Jean LEEMPOEL, fut interrompue. Après ces années difficiles, les deux hommes décidèrent de relancer le journal sous une nouvelle formule qui allait faire rêver toute la Belgique mais aussi d’autres pays. Ils créèrent un magazine qui allait parler des plus grandes stars du cinéma. A cette fin, Jean LEEMPOEL engagea Joe Van COTTOM en tant que rédacteur en chef et le 13 octobre 1944, ils fondèrent, « Théâtra Ciné Revue » qui, très rapidement, devint « Ciné Revue ». Le succès du nouveau magazine fut immédiat. Cet hebdomadaire belge s’imposa rapidement dans plusieurs pays étrangers et principalement en France. L’idée de génie des deux hommes fut d’axer le magazine sur le cinéma américain et d’envoyer Joe Van COTTOM régulièrement à Hollywood. Il fut l’un des premiers journalistes européens à débarquer Outre-Atlantique et les américains lui déroulèrent « le tapis rouge ». Cela lui permit de rencontrer les plus grandes stars du cinéma de l’époque telles que Marilyn MONROE, John WAYNE, Charlie CHAPLIN, Walt DISNEY, Robert MITCHUM, Spencer TRACY, Kirk DOUGLAS, Elizabeth TAYLOR, Grace KELLY et bien d’autres monstres sacrés dont certains furent mêmes ses amis. Grâce à ses liens si forts avec les vedettes, "CINE REVUE" fit ainsi rêver des générations entières en racontant dans ses pages la vie extraordinaire des plus grandes étoiles du cinéma.

En cover de "CINE REVUE" magazine... (de haut en bas) Pier ANGELI / Raquel WELCH / Brigitte BARDOT / Audrey HEPBURN / Gina LOLLOBRIGIDA / Marilyn MONROE / Claudia CARDINALE / Elke SOMMER / NAISSANCE DU MAGAZINE / Tout a commencé grâce à deux hommes, Jean LEEMPOEL et Joe Van COTTOM. Pendant la guerre de 1940 la parution du journal « Théâtra Revue », dont l’éditeur était Jean LEEMPOEL, fut interrompue. Après ces années difficiles, les deux hommes décidèrent de relancer le journal sous une nouvelle formule qui allait faire rêver toute la Belgique mais aussi d’autres pays. Ils créèrent un magazine qui allait parler des plus grandes stars du cinéma. A cette fin, Jean LEEMPOEL engagea Joe Van COTTOM en tant que rédacteur en chef et le 13 octobre 1944, ils fondèrent, « Théâtra Ciné Revue » qui, très rapidement, devint « Ciné Revue ». Le succès du nouveau magazine fut immédiat. Cet hebdomadaire belge s’imposa rapidement dans plusieurs pays étrangers et principalement en France. L’idée de génie des deux hommes fut d’axer le magazine sur le cinéma américain et d’envoyer Joe Van COTTOM régulièrement à Hollywood. Il fut l’un des premiers journalistes européens à débarquer Outre-Atlantique et les américains lui déroulèrent « le tapis rouge ». Cela lui permit de rencontrer les plus grandes stars du cinéma de l’époque telles que Marilyn MONROE, John WAYNE, Charlie CHAPLIN, Walt DISNEY, Robert MITCHUM, Spencer TRACY, Kirk DOUGLAS, Elizabeth TAYLOR, Grace KELLY et bien d’autres monstres sacrés dont certains furent mêmes ses amis. Grâce à ses liens si forts avec les vedettes, "CINE REVUE" fit ainsi rêver des générations entières en racontant dans ses pages la vie extraordinaire des plus grandes étoiles du cinéma.

En cover de "CINE REVUE" magazine... (de haut en bas) Pier ANGELI / Raquel WELCH / Brigitte BARDOT / Audrey HEPBURN / Gina LOLLOBRIGIDA / Marilyn MONROE / Claudia CARDINALE / Elke SOMMER / NAISSANCE DU MAGAZINE / Tout a commencé grâce à deux hommes, Jean LEEMPOEL et Joe Van COTTOM. Pendant la guerre de 1940 la parution du journal « Théâtra Revue », dont l’éditeur était Jean LEEMPOEL, fut interrompue. Après ces années difficiles, les deux hommes décidèrent de relancer le journal sous une nouvelle formule qui allait faire rêver toute la Belgique mais aussi d’autres pays. Ils créèrent un magazine qui allait parler des plus grandes stars du cinéma. A cette fin, Jean LEEMPOEL engagea Joe Van COTTOM en tant que rédacteur en chef et le 13 octobre 1944, ils fondèrent, « Théâtra Ciné Revue » qui, très rapidement, devint « Ciné Revue ». Le succès du nouveau magazine fut immédiat. Cet hebdomadaire belge s’imposa rapidement dans plusieurs pays étrangers et principalement en France. L’idée de génie des deux hommes fut d’axer le magazine sur le cinéma américain et d’envoyer Joe Van COTTOM régulièrement à Hollywood. Il fut l’un des premiers journalistes européens à débarquer Outre-Atlantique et les américains lui déroulèrent « le tapis rouge ». Cela lui permit de rencontrer les plus grandes stars du cinéma de l’époque telles que Marilyn MONROE, John WAYNE, Charlie CHAPLIN, Walt DISNEY, Robert MITCHUM, Spencer TRACY, Kirk DOUGLAS, Elizabeth TAYLOR, Grace KELLY et bien d’autres monstres sacrés dont certains furent mêmes ses amis. Grâce à ses liens si forts avec les vedettes, "CINE REVUE" fit ainsi rêver des générations entières en racontant dans ses pages la vie extraordinaire des plus grandes étoiles du cinéma.

En cover de "CINE REVUE" magazine... (de haut en bas) Pier ANGELI / Raquel WELCH / Brigitte BARDOT / Audrey HEPBURN / Gina LOLLOBRIGIDA / Marilyn MONROE / Claudia CARDINALE / Elke SOMMER / NAISSANCE DU MAGAZINE / Tout a commencé grâce à deux hommes, Jean LEEMPOEL et Joe Van COTTOM. Pendant la guerre de 1940 la parution du journal « Théâtra Revue », dont l’éditeur était Jean LEEMPOEL, fut interrompue. Après ces années difficiles, les deux hommes décidèrent de relancer le journal sous une nouvelle formule qui allait faire rêver toute la Belgique mais aussi d’autres pays. Ils créèrent un magazine qui allait parler des plus grandes stars du cinéma. A cette fin, Jean LEEMPOEL engagea Joe Van COTTOM en tant que rédacteur en chef et le 13 octobre 1944, ils fondèrent, « Théâtra Ciné Revue » qui, très rapidement, devint « Ciné Revue ». Le succès du nouveau magazine fut immédiat. Cet hebdomadaire belge s’imposa rapidement dans plusieurs pays étrangers et principalement en France. L’idée de génie des deux hommes fut d’axer le magazine sur le cinéma américain et d’envoyer Joe Van COTTOM régulièrement à Hollywood. Il fut l’un des premiers journalistes européens à débarquer Outre-Atlantique et les américains lui déroulèrent « le tapis rouge ». Cela lui permit de rencontrer les plus grandes stars du cinéma de l’époque telles que Marilyn MONROE, John WAYNE, Charlie CHAPLIN, Walt DISNEY, Robert MITCHUM, Spencer TRACY, Kirk DOUGLAS, Elizabeth TAYLOR, Grace KELLY et bien d’autres monstres sacrés dont certains furent mêmes ses amis. Grâce à ses liens si forts avec les vedettes, "CINE REVUE" fit ainsi rêver des générations entières en racontant dans ses pages la vie extraordinaire des plus grandes étoiles du cinéma.

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En cover de "CINE REVUE" magazine... (de haut en bas) Pier ANGELI / Raquel WELCH / Brigitte BARDOT / Audrey HEPBURN / Gina LOLLOBRIGIDA / Marilyn MONROE / Claudia CARDINALE / Elke SOMMER / NAISSANCE DU MAGAZINE / Tout a commencé grâce à deux hommes, Jean LEEMPOEL et Joe Van COTTOM. Pendant la guerre de 1940 la parution du journal « Théâtra Revue », dont l’éditeur était Jean LEEMPOEL, fut interrompue. Après ces années difficiles, les deux hommes décidèrent de relancer le journal sous une nouvelle formule qui allait faire rêver toute la Belgique mais aussi d’autres pays. Ils créèrent un magazine qui allait parler des plus grandes stars du cinéma. A cette fin, Jean LEEMPOEL engagea Joe Van COTTOM en tant que rédacteur en chef et le 13 octobre 1944, ils fondèrent, « Théâtra Ciné Revue » qui, très rapidement, devint « Ciné Revue ». Le succès du nouveau magazine fut immédiat. Cet hebdomadaire belge s’imposa rapidement dans plusieurs pays étrangers et principalement en France. L’idée de génie des deux hommes fut d’axer le magazine sur le cinéma américain et d’envoyer Joe Van COTTOM régulièrement à Hollywood. Il fut l’un des premiers journalistes européens à débarquer Outre-Atlantique et les américains lui déroulèrent « le tapis rouge ». Cela lui permit de rencontrer les plus grandes stars du cinéma de l’époque telles que Marilyn MONROE, John WAYNE, Charlie CHAPLIN, Walt DISNEY, Robert MITCHUM, Spencer TRACY, Kirk DOUGLAS, Elizabeth TAYLOR, Grace KELLY et bien d’autres monstres sacrés dont certains furent mêmes ses amis. Grâce à ses liens si forts avec les vedettes, "CINE REVUE" fit ainsi rêver des générations entières en racontant dans ses pages la vie extraordinaire des plus grandes étoiles du cinéma.

En cover de "CINE REVUE" magazine... (de haut en bas) Pier ANGELI / Raquel WELCH / Brigitte BARDOT / Audrey HEPBURN / Gina LOLLOBRIGIDA / Marilyn MONROE / Claudia CARDINALE / Elke SOMMER / NAISSANCE DU MAGAZINE / Tout a commencé grâce à deux hommes, Jean LEEMPOEL et Joe Van COTTOM. Pendant la guerre de 1940 la parution du journal « Théâtra Revue », dont l’éditeur était Jean LEEMPOEL, fut interrompue. Après ces années difficiles, les deux hommes décidèrent de relancer le journal sous une nouvelle formule qui allait faire rêver toute la Belgique mais aussi d’autres pays. Ils créèrent un magazine qui allait parler des plus grandes stars du cinéma. A cette fin, Jean LEEMPOEL engagea Joe Van COTTOM en tant que rédacteur en chef et le 13 octobre 1944, ils fondèrent, « Théâtra Ciné Revue » qui, très rapidement, devint « Ciné Revue ». Le succès du nouveau magazine fut immédiat. Cet hebdomadaire belge s’imposa rapidement dans plusieurs pays étrangers et principalement en France. L’idée de génie des deux hommes fut d’axer le magazine sur le cinéma américain et d’envoyer Joe Van COTTOM régulièrement à Hollywood. Il fut l’un des premiers journalistes européens à débarquer Outre-Atlantique et les américains lui déroulèrent « le tapis rouge ». Cela lui permit de rencontrer les plus grandes stars du cinéma de l’époque telles que Marilyn MONROE, John WAYNE, Charlie CHAPLIN, Walt DISNEY, Robert MITCHUM, Spencer TRACY, Kirk DOUGLAS, Elizabeth TAYLOR, Grace KELLY et bien d’autres monstres sacrés dont certains furent mêmes ses amis. Grâce à ses liens si forts avec les vedettes, "CINE REVUE" fit ainsi rêver des générations entières en racontant dans ses pages la vie extraordinaire des plus grandes étoiles du cinéma.

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#Posté le lundi 03 décembre 2012 02:07

CITATION / « La différence entre la femme et le chien réside dans le prix du collier. » de François GIRAUDO / de haut en bas / Claudette COLBERT / Audrey HEPBURN / Zsa Zsa GABOR / Jayne MANSFIELD / Jean SIMMONS / Jeanne CRAIN / Lauren BACALL / June LOCKHART

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CITATION / « La différence entre la femme et le chien réside dans le prix du collier. » de François GIRAUDO / de haut en bas / Claudette COLBERT / Audrey HEPBURN / Zsa Zsa GABOR / Jayne MANSFIELD / Jean SIMMONS / Jeanne CRAIN / Lauren BACALL / June LOCKHART

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#Posté le dimanche 23 décembre 2012 04:59

Quand nos STARS sont en fête (part 2)... (de haut en bas) Brigid BAZLEN for Easter / June HAVER for Thanksgiving-day / Ann BLYTH for Happy new-year / Vivien LEIGH Wedding / Betty GRABLE for Christmas / Deanna DURBIN for the Valentine day / Kathleen CASE for Halloween / Audrey HEPBURN Carnival

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#Posté le mercredi 26 décembre 2012 08:47

Modifié le dimanche 24 février 2013 09:51

Envie de jaune, de soleil... Pour ceux qui sont proches de Cannes, Mandelieu La Napoule exactement, aura lieu comme chaque année en Février, la fête du mimosa, s'étalant sur dix jours, avec ses fameux corsos fleuris, entre autres... (de haut en bas) Audrey HEPBURN / Angie DICKINSON / Barbara STANWYCK / Anita EKBERG / Diana LYNN / Janet LEIGH / Marie MacDONALD / Marianne FAITHFULL

Envie de jaune, de soleil... Pour ceux qui sont proches de Cannes, Mandelieu La Napoule exactement, aura lieu comme chaque année en Février, la fête du mimosa, s'étalant sur dix jours, avec ses fameux corsos fleuris, entre autres... (de haut en bas) Audrey HEPBURN / Angie DICKINSON / Barbara STANWYCK / Anita EKBERG / Diana LYNN / Janet LEIGH / Marie MacDONALD / Marianne FAITHFULL

Envie de jaune, de soleil... Pour ceux qui sont proches de Cannes, Mandelieu La Napoule exactement, aura lieu comme chaque année en Février, la fête du mimosa, s'étalant sur dix jours, avec ses fameux corsos fleuris, entre autres... (de haut en bas) Audrey HEPBURN / Angie DICKINSON / Barbara STANWYCK / Anita EKBERG / Diana LYNN / Janet LEIGH / Marie MacDONALD / Marianne FAITHFULL

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Envie de jaune, de soleil... Pour ceux qui sont proches de Cannes, Mandelieu La Napoule exactement, aura lieu comme chaque année en Février, la fête du mimosa, s'étalant sur dix jours, avec ses fameux corsos fleuris, entre autres... (de haut en bas) Audrey HEPBURN / Angie DICKINSON / Barbara STANWYCK / Anita EKBERG / Diana LYNN / Janet LEIGH / Marie MacDONALD / Marianne FAITHFULL

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#Posté le dimanche 13 janvier 2013 04:08

FEMME DE COEUR / Audrey HEPBURN / Dans son action au côté de l'Unicef à partir de 1988 en tant qu'ambassadrice spéciale pour l'Afrique et l'Amérique latine, elle effectue une cinquantaine de voyages d'études au Soudan, au Salvador, au Honduras, au Mexique, au Venezuela, en Équateur, au Bangladesh, au Viêt Nam, en Thaïlande, en Éthiopie, en Érythrée et en Somalie, jusqu'en 1992. Dans la même volonté de défendre l'enfance, elle participe à une série télévisée intitulée "Gardens of the World with Audrey HEPBURN" qui fut diffusée sur CBS le jour de sa mort. Elle enregistre également un CD de contes pour enfants qu'elle lit, "Les Contes enchantés d'Audrey HEPBURN". Pour cet album elle remportera un Grammy Award posthume, celui de meilleur album parlé pour enfants. À la fin de 1992, Audrey commence à avoir des douleurs à l'estomac. Elle pense tout d'abord qu'il s'agit d'un virus contracté en Afrique, mais les médecins diagnostiquent un cancer du colon. Elle reste dans sa villa suisse, "La Paisible", entre Genève et Lausanne, entourée de ses proches. Elle meurt le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, dans le canton de Vaud, où elle a été enterrée. Sa tombe, située dans le minuscule cimetière du village, est d'une très grande sobriété, à l'image de l'actrice. Le 7 mai 2002, l'Unicef inaugura une statue à sa mémoire, dénommée "L'Esprit d'Audrey" et située au siège de l'organisation internationale. « Nous sommes réunis pour célébrer la vie de notre amie Audrey HEPBURN et sa seconde carrière, encore plus brillante, d'Ambassadrice de l'UNICEF », déclara alors Roger MOORE. Selon les confidences qu'elle a faites à ce dernier, son service de l'Unicef était en partie motivé par son passé : « J'étais une enfant sous-alimentée pendant les années de l'après-guerre. J'ai bénéficié des services de l'Unicef, j'ai connu l'Unicef toute ma vie » — Audrey HEPBURN

FEMME DE COEUR / Audrey HEPBURN / Dans son action au côté de l'Unicef à partir de 1988 en tant qu'ambassadrice spéciale pour l’Afrique et l'Amérique latine, elle effectue une cinquantaine de voyages d'études au Soudan, au Salvador, au Honduras, au Mexique, au Venezuela, en Équateur, au Bangladesh, au Viêt Nam, en Thaïlande, en Éthiopie, en Érythrée et en Somalie, jusqu’en 1992. Dans la même volonté de défendre l'enfance, elle participe à une série télévisée intitulée "Gardens of the World with Audrey HEPBURN" qui fut diffusée sur CBS le jour de sa mort. Elle enregistre également un CD de contes pour enfants qu'elle lit, "Les Contes enchantés d'Audrey HEPBURN". Pour cet album elle remportera un Grammy Award posthume, celui de meilleur album parlé pour enfants. À la fin de 1992, Audrey commence à avoir des douleurs à l'estomac. Elle pense tout d’abord qu'il s'agit d'un virus contracté en Afrique, mais les médecins diagnostiquent un cancer du colon. Elle reste dans sa villa suisse, "La Paisible", entre Genève et Lausanne, entourée de ses proches. Elle meurt le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, dans le canton de Vaud, où elle a été enterrée. Sa tombe, située dans le minuscule cimetière du village, est d'une très grande sobriété, à l'image de l'actrice. Le 7 mai 2002, l'Unicef inaugura une statue à sa mémoire, dénommée "L'Esprit d'Audrey" et située au siège de l'organisation internationale. « Nous sommes réunis pour célébrer la vie de notre amie Audrey HEPBURN et sa seconde carrière, encore plus brillante, d'Ambassadrice de l'UNICEF », déclara alors Roger MOORE. Selon les confidences qu'elle a faites à ce dernier, son service de l'Unicef était en partie motivé par son passé : « J'étais une enfant sous-alimentée pendant les années de l'après-guerre. J'ai bénéficié des services de l'Unicef, j'ai connu l'Unicef toute ma vie » — Audrey HEPBURN

FEMME DE COEUR / Audrey HEPBURN / Dans son action au côté de l'Unicef à partir de 1988 en tant qu'ambassadrice spéciale pour l’Afrique et l'Amérique latine, elle effectue une cinquantaine de voyages d'études au Soudan, au Salvador, au Honduras, au Mexique, au Venezuela, en Équateur, au Bangladesh, au Viêt Nam, en Thaïlande, en Éthiopie, en Érythrée et en Somalie, jusqu’en 1992. Dans la même volonté de défendre l'enfance, elle participe à une série télévisée intitulée "Gardens of the World with Audrey HEPBURN" qui fut diffusée sur CBS le jour de sa mort. Elle enregistre également un CD de contes pour enfants qu'elle lit, "Les Contes enchantés d'Audrey HEPBURN". Pour cet album elle remportera un Grammy Award posthume, celui de meilleur album parlé pour enfants. À la fin de 1992, Audrey commence à avoir des douleurs à l'estomac. Elle pense tout d’abord qu'il s'agit d'un virus contracté en Afrique, mais les médecins diagnostiquent un cancer du colon. Elle reste dans sa villa suisse, "La Paisible", entre Genève et Lausanne, entourée de ses proches. Elle meurt le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, dans le canton de Vaud, où elle a été enterrée. Sa tombe, située dans le minuscule cimetière du village, est d'une très grande sobriété, à l'image de l'actrice. Le 7 mai 2002, l'Unicef inaugura une statue à sa mémoire, dénommée "L'Esprit d'Audrey" et située au siège de l'organisation internationale. « Nous sommes réunis pour célébrer la vie de notre amie Audrey HEPBURN et sa seconde carrière, encore plus brillante, d'Ambassadrice de l'UNICEF », déclara alors Roger MOORE. Selon les confidences qu'elle a faites à ce dernier, son service de l'Unicef était en partie motivé par son passé : « J'étais une enfant sous-alimentée pendant les années de l'après-guerre. J'ai bénéficié des services de l'Unicef, j'ai connu l'Unicef toute ma vie » — Audrey HEPBURN

FEMME DE COEUR / Audrey HEPBURN / Dans son action au côté de l'Unicef à partir de 1988 en tant qu'ambassadrice spéciale pour l’Afrique et l'Amérique latine, elle effectue une cinquantaine de voyages d'études au Soudan, au Salvador, au Honduras, au Mexique, au Venezuela, en Équateur, au Bangladesh, au Viêt Nam, en Thaïlande, en Éthiopie, en Érythrée et en Somalie, jusqu’en 1992. Dans la même volonté de défendre l'enfance, elle participe à une série télévisée intitulée "Gardens of the World with Audrey HEPBURN" qui fut diffusée sur CBS le jour de sa mort. Elle enregistre également un CD de contes pour enfants qu'elle lit, "Les Contes enchantés d'Audrey HEPBURN". Pour cet album elle remportera un Grammy Award posthume, celui de meilleur album parlé pour enfants. À la fin de 1992, Audrey commence à avoir des douleurs à l'estomac. Elle pense tout d’abord qu'il s'agit d'un virus contracté en Afrique, mais les médecins diagnostiquent un cancer du colon. Elle reste dans sa villa suisse, "La Paisible", entre Genève et Lausanne, entourée de ses proches. Elle meurt le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, dans le canton de Vaud, où elle a été enterrée. Sa tombe, située dans le minuscule cimetière du village, est d'une très grande sobriété, à l'image de l'actrice. Le 7 mai 2002, l'Unicef inaugura une statue à sa mémoire, dénommée "L'Esprit d'Audrey" et située au siège de l'organisation internationale. « Nous sommes réunis pour célébrer la vie de notre amie Audrey HEPBURN et sa seconde carrière, encore plus brillante, d'Ambassadrice de l'UNICEF », déclara alors Roger MOORE. Selon les confidences qu'elle a faites à ce dernier, son service de l'Unicef était en partie motivé par son passé : « J'étais une enfant sous-alimentée pendant les années de l'après-guerre. J'ai bénéficié des services de l'Unicef, j'ai connu l'Unicef toute ma vie » — Audrey HEPBURN

FEMME DE COEUR / Audrey HEPBURN / Dans son action au côté de l'Unicef à partir de 1988 en tant qu'ambassadrice spéciale pour l’Afrique et l'Amérique latine, elle effectue une cinquantaine de voyages d'études au Soudan, au Salvador, au Honduras, au Mexique, au Venezuela, en Équateur, au Bangladesh, au Viêt Nam, en Thaïlande, en Éthiopie, en Érythrée et en Somalie, jusqu’en 1992. Dans la même volonté de défendre l'enfance, elle participe à une série télévisée intitulée "Gardens of the World with Audrey HEPBURN" qui fut diffusée sur CBS le jour de sa mort. Elle enregistre également un CD de contes pour enfants qu'elle lit, "Les Contes enchantés d'Audrey HEPBURN". Pour cet album elle remportera un Grammy Award posthume, celui de meilleur album parlé pour enfants. À la fin de 1992, Audrey commence à avoir des douleurs à l'estomac. Elle pense tout d’abord qu'il s'agit d'un virus contracté en Afrique, mais les médecins diagnostiquent un cancer du colon. Elle reste dans sa villa suisse, "La Paisible", entre Genève et Lausanne, entourée de ses proches. Elle meurt le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, dans le canton de Vaud, où elle a été enterrée. Sa tombe, située dans le minuscule cimetière du village, est d'une très grande sobriété, à l'image de l'actrice. Le 7 mai 2002, l'Unicef inaugura une statue à sa mémoire, dénommée "L'Esprit d'Audrey" et située au siège de l'organisation internationale. « Nous sommes réunis pour célébrer la vie de notre amie Audrey HEPBURN et sa seconde carrière, encore plus brillante, d'Ambassadrice de l'UNICEF », déclara alors Roger MOORE. Selon les confidences qu'elle a faites à ce dernier, son service de l'Unicef était en partie motivé par son passé : « J'étais une enfant sous-alimentée pendant les années de l'après-guerre. J'ai bénéficié des services de l'Unicef, j'ai connu l'Unicef toute ma vie » — Audrey HEPBURN

FEMME DE COEUR / Audrey HEPBURN / Dans son action au côté de l'Unicef à partir de 1988 en tant qu'ambassadrice spéciale pour l’Afrique et l'Amérique latine, elle effectue une cinquantaine de voyages d'études au Soudan, au Salvador, au Honduras, au Mexique, au Venezuela, en Équateur, au Bangladesh, au Viêt Nam, en Thaïlande, en Éthiopie, en Érythrée et en Somalie, jusqu’en 1992. Dans la même volonté de défendre l'enfance, elle participe à une série télévisée intitulée "Gardens of the World with Audrey HEPBURN" qui fut diffusée sur CBS le jour de sa mort. Elle enregistre également un CD de contes pour enfants qu'elle lit, "Les Contes enchantés d'Audrey HEPBURN". Pour cet album elle remportera un Grammy Award posthume, celui de meilleur album parlé pour enfants. À la fin de 1992, Audrey commence à avoir des douleurs à l'estomac. Elle pense tout d’abord qu'il s'agit d'un virus contracté en Afrique, mais les médecins diagnostiquent un cancer du colon. Elle reste dans sa villa suisse, "La Paisible", entre Genève et Lausanne, entourée de ses proches. Elle meurt le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, dans le canton de Vaud, où elle a été enterrée. Sa tombe, située dans le minuscule cimetière du village, est d'une très grande sobriété, à l'image de l'actrice. Le 7 mai 2002, l'Unicef inaugura une statue à sa mémoire, dénommée "L'Esprit d'Audrey" et située au siège de l'organisation internationale. « Nous sommes réunis pour célébrer la vie de notre amie Audrey HEPBURN et sa seconde carrière, encore plus brillante, d'Ambassadrice de l'UNICEF », déclara alors Roger MOORE. Selon les confidences qu'elle a faites à ce dernier, son service de l'Unicef était en partie motivé par son passé : « J'étais une enfant sous-alimentée pendant les années de l'après-guerre. J'ai bénéficié des services de l'Unicef, j'ai connu l'Unicef toute ma vie » — Audrey HEPBURN

FEMME DE COEUR / Audrey HEPBURN / Dans son action au côté de l'Unicef à partir de 1988 en tant qu'ambassadrice spéciale pour l’Afrique et l'Amérique latine, elle effectue une cinquantaine de voyages d'études au Soudan, au Salvador, au Honduras, au Mexique, au Venezuela, en Équateur, au Bangladesh, au Viêt Nam, en Thaïlande, en Éthiopie, en Érythrée et en Somalie, jusqu’en 1992. Dans la même volonté de défendre l'enfance, elle participe à une série télévisée intitulée "Gardens of the World with Audrey HEPBURN" qui fut diffusée sur CBS le jour de sa mort. Elle enregistre également un CD de contes pour enfants qu'elle lit, "Les Contes enchantés d'Audrey HEPBURN". Pour cet album elle remportera un Grammy Award posthume, celui de meilleur album parlé pour enfants. À la fin de 1992, Audrey commence à avoir des douleurs à l'estomac. Elle pense tout d’abord qu'il s'agit d'un virus contracté en Afrique, mais les médecins diagnostiquent un cancer du colon. Elle reste dans sa villa suisse, "La Paisible", entre Genève et Lausanne, entourée de ses proches. Elle meurt le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, dans le canton de Vaud, où elle a été enterrée. Sa tombe, située dans le minuscule cimetière du village, est d'une très grande sobriété, à l'image de l'actrice. Le 7 mai 2002, l'Unicef inaugura une statue à sa mémoire, dénommée "L'Esprit d'Audrey" et située au siège de l'organisation internationale. « Nous sommes réunis pour célébrer la vie de notre amie Audrey HEPBURN et sa seconde carrière, encore plus brillante, d'Ambassadrice de l'UNICEF », déclara alors Roger MOORE. Selon les confidences qu'elle a faites à ce dernier, son service de l'Unicef était en partie motivé par son passé : « J'étais une enfant sous-alimentée pendant les années de l'après-guerre. J'ai bénéficié des services de l'Unicef, j'ai connu l'Unicef toute ma vie » — Audrey HEPBURN

FEMME DE COEUR / Audrey HEPBURN / Dans son action au côté de l'Unicef à partir de 1988 en tant qu'ambassadrice spéciale pour l’Afrique et l'Amérique latine, elle effectue une cinquantaine de voyages d'études au Soudan, au Salvador, au Honduras, au Mexique, au Venezuela, en Équateur, au Bangladesh, au Viêt Nam, en Thaïlande, en Éthiopie, en Érythrée et en Somalie, jusqu’en 1992. Dans la même volonté de défendre l'enfance, elle participe à une série télévisée intitulée "Gardens of the World with Audrey HEPBURN" qui fut diffusée sur CBS le jour de sa mort. Elle enregistre également un CD de contes pour enfants qu'elle lit, "Les Contes enchantés d'Audrey HEPBURN". Pour cet album elle remportera un Grammy Award posthume, celui de meilleur album parlé pour enfants. À la fin de 1992, Audrey commence à avoir des douleurs à l'estomac. Elle pense tout d’abord qu'il s'agit d'un virus contracté en Afrique, mais les médecins diagnostiquent un cancer du colon. Elle reste dans sa villa suisse, "La Paisible", entre Genève et Lausanne, entourée de ses proches. Elle meurt le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, dans le canton de Vaud, où elle a été enterrée. Sa tombe, située dans le minuscule cimetière du village, est d'une très grande sobriété, à l'image de l'actrice. Le 7 mai 2002, l'Unicef inaugura une statue à sa mémoire, dénommée "L'Esprit d'Audrey" et située au siège de l'organisation internationale. « Nous sommes réunis pour célébrer la vie de notre amie Audrey HEPBURN et sa seconde carrière, encore plus brillante, d'Ambassadrice de l'UNICEF », déclara alors Roger MOORE. Selon les confidences qu'elle a faites à ce dernier, son service de l'Unicef était en partie motivé par son passé : « J'étais une enfant sous-alimentée pendant les années de l'après-guerre. J'ai bénéficié des services de l'Unicef, j'ai connu l'Unicef toute ma vie » — Audrey HEPBURN

FEMME DE COEUR / Audrey HEPBURN / Dans son action au côté de l'Unicef à partir de 1988 en tant qu'ambassadrice spéciale pour l’Afrique et l'Amérique latine, elle effectue une cinquantaine de voyages d'études au Soudan, au Salvador, au Honduras, au Mexique, au Venezuela, en Équateur, au Bangladesh, au Viêt Nam, en Thaïlande, en Éthiopie, en Érythrée et en Somalie, jusqu’en 1992. Dans la même volonté de défendre l'enfance, elle participe à une série télévisée intitulée "Gardens of the World with Audrey HEPBURN" qui fut diffusée sur CBS le jour de sa mort. Elle enregistre également un CD de contes pour enfants qu'elle lit, "Les Contes enchantés d'Audrey HEPBURN". Pour cet album elle remportera un Grammy Award posthume, celui de meilleur album parlé pour enfants. À la fin de 1992, Audrey commence à avoir des douleurs à l'estomac. Elle pense tout d’abord qu'il s'agit d'un virus contracté en Afrique, mais les médecins diagnostiquent un cancer du colon. Elle reste dans sa villa suisse, "La Paisible", entre Genève et Lausanne, entourée de ses proches. Elle meurt le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, dans le canton de Vaud, où elle a été enterrée. Sa tombe, située dans le minuscule cimetière du village, est d'une très grande sobriété, à l'image de l'actrice. Le 7 mai 2002, l'Unicef inaugura une statue à sa mémoire, dénommée "L'Esprit d'Audrey" et située au siège de l'organisation internationale. « Nous sommes réunis pour célébrer la vie de notre amie Audrey HEPBURN et sa seconde carrière, encore plus brillante, d'Ambassadrice de l'UNICEF », déclara alors Roger MOORE. Selon les confidences qu'elle a faites à ce dernier, son service de l'Unicef était en partie motivé par son passé : « J'étais une enfant sous-alimentée pendant les années de l'après-guerre. J'ai bénéficié des services de l'Unicef, j'ai connu l'Unicef toute ma vie » — Audrey HEPBURN

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#Posté le mardi 15 janvier 2013 04:31

CITATION / « La cigarette aux lèvres d'une femme lui sied autant qu'une dent en moins à son sourire. » de Paul CARVEL (de haut en bas) Anita EKBERG / Anne FRANCIS / Elizabeth TAYLOR / Audrey HEPBURN / Bernadette LAFONT / Eleanor PARKER / Paulette GODDARD / Sophia LOREN

CITATION / « La cigarette aux lèvres d’une femme lui sied autant qu’une dent en moins à son sourire. » de Paul CARVEL (de haut en bas) Anita EKBERG / Anne FRANCIS / Elizabeth TAYLOR / Audrey HEPBURN / Bernadette LAFONT / Eleanor PARKER / Paulette GODDARD / Sophia LOREN

CITATION / « La cigarette aux lèvres d’une femme lui sied autant qu’une dent en moins à son sourire. » de Paul CARVEL (de haut en bas) Anita EKBERG / Anne FRANCIS / Elizabeth TAYLOR / Audrey HEPBURN / Bernadette LAFONT / Eleanor PARKER / Paulette GODDARD / Sophia LOREN

CITATION / « La cigarette aux lèvres d’une femme lui sied autant qu’une dent en moins à son sourire. » de Paul CARVEL (de haut en bas) Anita EKBERG / Anne FRANCIS / Elizabeth TAYLOR / Audrey HEPBURN / Bernadette LAFONT / Eleanor PARKER / Paulette GODDARD / Sophia LOREN

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CITATION / « La cigarette aux lèvres d’une femme lui sied autant qu’une dent en moins à son sourire. » de Paul CARVEL (de haut en bas) Anita EKBERG / Anne FRANCIS / Elizabeth TAYLOR / Audrey HEPBURN / Bernadette LAFONT / Eleanor PARKER / Paulette GODDARD / Sophia LOREN

CITATION / « La cigarette aux lèvres d’une femme lui sied autant qu’une dent en moins à son sourire. » de Paul CARVEL (de haut en bas) Anita EKBERG / Anne FRANCIS / Elizabeth TAYLOR / Audrey HEPBURN / Bernadette LAFONT / Eleanor PARKER / Paulette GODDARD / Sophia LOREN

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#Posté le mercredi 16 janvier 2013 11:02

1959-60 / Audrey HEPBURN on the set, lors du tournage du western "Le vent de la plaine" (The unforgiven) de John HUSTON / AUTOUR DU FILM / Le tournage s'est déroulé à Durango, au Mexique. Audrey HEPBURN, alors enceinte de plusieurs mois, fut sérieusement blessée au dos suite à une chute de cheval. Après avoir passé six semaines à l'hôpital, elle reprit son rôle avec un corset orthopédique, une minerve et de nouvelles robes pour la cacher. Malheureusement, quelques mois plus tard, elle subit une fausse couche, que certains imputèrent à son accident sur le tournage de ce film. Audrey HEPBURN ne l'a jamais accusé, mais le cinéaste s'en est personnellement voulu et a avoué détester ce film. Le reste des scènes d'Audrey furent tournées avec une doublure.

1959-60 / Audrey HEPBURN on the set, lors du tournage du western "Le vent de la plaine" (The unforgiven) de John HUSTON / AUTOUR DU FILM / Le tournage s'est déroulé à Durango, au Mexique. Audrey HEPBURN, alors enceinte de plusieurs mois, fut sérieusement blessée au dos suite à une chute de cheval. Après avoir passé six semaines à l'hôpital, elle reprit son rôle avec un corset orthopédique, une minerve et de nouvelles robes pour la cacher. Malheureusement, quelques mois plus tard, elle subit une fausse couche, que certains imputèrent à son accident sur le tournage de ce film. Audrey HEPBURN ne l'a jamais accusé, mais le cinéaste s'en est personnellement voulu et a avoué détester ce film. Le reste des scènes d'Audrey furent tournées avec une doublure.

1959-60 / Audrey HEPBURN on the set, lors du tournage du western "Le vent de la plaine" (The unforgiven) de John HUSTON / AUTOUR DU FILM / Le tournage s'est déroulé à Durango, au Mexique. Audrey HEPBURN, alors enceinte de plusieurs mois, fut sérieusement blessée au dos suite à une chute de cheval. Après avoir passé six semaines à l'hôpital, elle reprit son rôle avec un corset orthopédique, une minerve et de nouvelles robes pour la cacher. Malheureusement, quelques mois plus tard, elle subit une fausse couche, que certains imputèrent à son accident sur le tournage de ce film. Audrey HEPBURN ne l'a jamais accusé, mais le cinéaste s'en est personnellement voulu et a avoué détester ce film. Le reste des scènes d'Audrey furent tournées avec une doublure.

1959-60 / Audrey HEPBURN on the set, lors du tournage du western "Le vent de la plaine" (The unforgiven) de John HUSTON / AUTOUR DU FILM / Le tournage s'est déroulé à Durango, au Mexique. Audrey HEPBURN, alors enceinte de plusieurs mois, fut sérieusement blessée au dos suite à une chute de cheval. Après avoir passé six semaines à l'hôpital, elle reprit son rôle avec un corset orthopédique, une minerve et de nouvelles robes pour la cacher. Malheureusement, quelques mois plus tard, elle subit une fausse couche, que certains imputèrent à son accident sur le tournage de ce film. Audrey HEPBURN ne l'a jamais accusé, mais le cinéaste s'en est personnellement voulu et a avoué détester ce film. Le reste des scènes d'Audrey furent tournées avec une doublure.

1959-60 / Audrey HEPBURN on the set, lors du tournage du western "Le vent de la plaine" (The unforgiven) de John HUSTON / AUTOUR DU FILM / Le tournage s'est déroulé à Durango, au Mexique. Audrey HEPBURN, alors enceinte de plusieurs mois, fut sérieusement blessée au dos suite à une chute de cheval. Après avoir passé six semaines à l'hôpital, elle reprit son rôle avec un corset orthopédique, une minerve et de nouvelles robes pour la cacher. Malheureusement, quelques mois plus tard, elle subit une fausse couche, que certains imputèrent à son accident sur le tournage de ce film. Audrey HEPBURN ne l'a jamais accusé, mais le cinéaste s'en est personnellement voulu et a avoué détester ce film. Le reste des scènes d'Audrey furent tournées avec une doublure.

1959-60 / Audrey HEPBURN on the set, lors du tournage du western "Le vent de la plaine" (The unforgiven) de John HUSTON / AUTOUR DU FILM / Le tournage s'est déroulé à Durango, au Mexique. Audrey HEPBURN, alors enceinte de plusieurs mois, fut sérieusement blessée au dos suite à une chute de cheval. Après avoir passé six semaines à l'hôpital, elle reprit son rôle avec un corset orthopédique, une minerve et de nouvelles robes pour la cacher. Malheureusement, quelques mois plus tard, elle subit une fausse couche, que certains imputèrent à son accident sur le tournage de ce film. Audrey HEPBURN ne l'a jamais accusé, mais le cinéaste s'en est personnellement voulu et a avoué détester ce film. Le reste des scènes d'Audrey furent tournées avec une doublure.

1959-60 / Audrey HEPBURN on the set, lors du tournage du western "Le vent de la plaine" (The unforgiven) de John HUSTON / AUTOUR DU FILM / Le tournage s'est déroulé à Durango, au Mexique. Audrey HEPBURN, alors enceinte de plusieurs mois, fut sérieusement blessée au dos suite à une chute de cheval. Après avoir passé six semaines à l'hôpital, elle reprit son rôle avec un corset orthopédique, une minerve et de nouvelles robes pour la cacher. Malheureusement, quelques mois plus tard, elle subit une fausse couche, que certains imputèrent à son accident sur le tournage de ce film. Audrey HEPBURN ne l'a jamais accusé, mais le cinéaste s'en est personnellement voulu et a avoué détester ce film. Le reste des scènes d'Audrey furent tournées avec une doublure.

1959-60 / Audrey HEPBURN on the set, lors du tournage du western "Le vent de la plaine" (The unforgiven) de John HUSTON / AUTOUR DU FILM / Le tournage s'est déroulé à Durango, au Mexique. Audrey HEPBURN, alors enceinte de plusieurs mois, fut sérieusement blessée au dos suite à une chute de cheval. Après avoir passé six semaines à l'hôpital, elle reprit son rôle avec un corset orthopédique, une minerve et de nouvelles robes pour la cacher. Malheureusement, quelques mois plus tard, elle subit une fausse couche, que certains imputèrent à son accident sur le tournage de ce film. Audrey HEPBURN ne l'a jamais accusé, mais le cinéaste s'en est personnellement voulu et a avoué détester ce film. Le reste des scènes d'Audrey furent tournées avec une doublure.

1959-60 / Audrey HEPBURN on the set, lors du tournage du western "Le vent de la plaine" (The unforgiven) de John HUSTON / AUTOUR DU FILM / Le tournage s'est déroulé à Durango, au Mexique. Audrey HEPBURN, alors enceinte de plusieurs mois, fut sérieusement blessée au dos suite à une chute de cheval. Après avoir passé six semaines à l'hôpital, elle reprit son rôle avec un corset orthopédique, une minerve et de nouvelles robes pour la cacher. Malheureusement, quelques mois plus tard, elle subit une fausse couche, que certains imputèrent à son accident sur le tournage de ce film. Audrey HEPBURN ne l'a jamais accusé, mais le cinéaste s'en est personnellement voulu et a avoué détester ce film. Le reste des scènes d'Audrey furent tournées avec une doublure.

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#Posté le samedi 19 janvier 2013 02:48

Et toujours la rubrique... Nos COUPLES de STARS (de haut en bas) Jane WYMAN and Ronald REAGAN / Audrey HEPBURN and Mel FERRER / Julie ANDREWS and Tony WALTON / Zsa Zsa GABOR and George SANDERS / Dale EVANS and Roy ROGERS / Jane FONDA and Roger VADIM / Janet LEIGH and Tony CURTIS / Brigitte BARDOT and Jacques CHARRIER

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#Posté le mercredi 23 janvier 2013 04:42

PART 1 / Pour la 180ème page de mon blog, j'ai selectionné 80 photos inconnues, rares ou inédites, de nos STARS... (et toujours de nouvelles photos). On commence avec, par ordre chronologique... (de haut en bas toujours) Anita EKBERG / Ann MARGRET / Anne BANCROFT / Anne HELM / Arlene DAHL / Audrey HEPBURN / Ava GARDNER / Barbara BATES

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PART 1 / Pour la 180ème page de mon blog, j'ai selectionné 80 photos inconnues, rares ou inédites, de nos STARS... (et toujours de nouvelles photos). On commence avec, par ordre chronologique... (de haut en bas toujours) Anita EKBERG / Ann MARGRET / Anne BANCROFT / Anne HELM / Arlene DAHL / Audrey HEPBURN / Ava GARDNER / Barbara BATES

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#Posté le mercredi 30 janvier 2013 02:34

Modifié le mercredi 30 janvier 2013 02:48

"Couchées dans le foin"... / de haut en bas / Audrey HEPBURN / Ava GARDNER / Betty HUTTON / Honor BLACKMAN / Sophia LOREN / Mitzi GAYNOR / Stella STEVENS / Jane RUSSELL / PAROLES DE COUCHES DANS LE FOIN : Il ne faut pas que je vous cache Que j'eus toujours la sainte horreur des vaches. Dans ma famille, c'est un tort, Hélas ! le métier de toréador N'a jamais été notre fort. J'aimerais mieux qu'on m'injurie, Qu'on me pende ou qu'on m'expatrie Plutôt que de toucher un pis, Un pis de ma vie. Je suis ainsi, tant pis Et c'est dommage. La fille de la fermière est charmante et on a le même âge Par bonheur pour les amoureux, Il est au grand air d'autres jeux Des jeux que j'aime davantage. (Refrain) Couchés dans le foin Avec le soleil pour témoin Un p'tit oiseau qui chante au loin On s'fait des aveux Et des grands serments et des veux On a des brindill's plein les ch'veux On s'embrasse et l'on se trémousse Ah ! que la vie est douce, douce Couchés dans le foin avec le soleil pour témoin. Vous connaissez des femmes du monde Qui jusqu'à quatre-vingts ans restent blondes Qui sont folles de leur corps. Pour leurs amours il leur faut des décors Des tapis, des coussins en or De la lumière tamisée Et des tentures irisées Estompant sous leurs baisers Des appas trop usés, Eh bien tant pis, Mais c'est dommage. Quand on est vigoureux, quand on aime et qu'on a mon âge Tous ces décors sont superflus Les canapés je n'en veux plus Je ne fais plus l'amour en cage Gardez, gardez vos éclairages. (Refrain) Paroles : Jean NOHAIN. Musique : Mireille 1932 © Raoul BRETON autres interprètes: Andrex (1932), Jean LUMIERE (1932), Patrice et Mario (1952), Charles AZNAVOUR (1953), Mireille (1957), Petula CLARK (1964), Lucienne JEUNESSE (1978), Francis LEMARQUE (1988)

"Couchées dans le foin"... / de haut en bas / Audrey HEPBURN / Ava GARDNER / Betty HUTTON / Honor BLACKMAN / Sophia LOREN / Mitzi GAYNOR / Stella STEVENS / Jane RUSSELL / PAROLES DE COUCHES DANS LE FOIN : Il ne faut pas que je vous cache Que j'eus toujours la sainte horreur des vaches. Dans ma famille, c'est un tort, Hélas ! le métier de toréador N'a jamais été notre fort. J'aimerais mieux qu'on m'injurie, Qu'on me pende ou qu'on m'expatrie Plutôt que de toucher un pis, Un pis de ma vie. Je suis ainsi, tant pis Et c'est dommage. La fille de la fermière est charmante et on a le même âge Par bonheur pour les amoureux, Il est au grand air d'autres jeux Des jeux que j'aime davantage. (Refrain) Couchés dans le foin Avec le soleil pour témoin Un p'tit oiseau qui chante au loin On s'fait des aveux Et des grands serments et des veux On a des brindill's plein les ch'veux On s'embrasse et l'on se trémousse Ah ! que la vie est douce, douce Couchés dans le foin avec le soleil pour témoin. Vous connaissez des femmes du monde Qui jusqu'à quatre-vingts ans restent blondes Qui sont folles de leur corps. Pour leurs amours il leur faut des décors Des tapis, des coussins en or De la lumière tamisée Et des tentures irisées Estompant sous leurs baisers Des appas trop usés, Eh bien tant pis, Mais c'est dommage. Quand on est vigoureux, quand on aime et qu'on a mon âge Tous ces décors sont superflus Les canapés je n'en veux plus Je ne fais plus l'amour en cage Gardez, gardez vos éclairages. (Refrain) Paroles : Jean NOHAIN. Musique : Mireille 1932 © Raoul BRETON autres interprètes: Andrex (1932), Jean LUMIERE (1932), Patrice et Mario (1952), Charles AZNAVOUR (1953), Mireille (1957), Petula CLARK (1964), Lucienne JEUNESSE (1978), Francis LEMARQUE (1988)

"Couchées dans le foin"... / de haut en bas / Audrey HEPBURN / Ava GARDNER / Betty HUTTON / Honor BLACKMAN / Sophia LOREN / Mitzi GAYNOR / Stella STEVENS / Jane RUSSELL / PAROLES DE COUCHES DANS LE FOIN : Il ne faut pas que je vous cache Que j'eus toujours la sainte horreur des vaches. Dans ma famille, c'est un tort, Hélas ! le métier de toréador N'a jamais été notre fort. J'aimerais mieux qu'on m'injurie, Qu'on me pende ou qu'on m'expatrie Plutôt que de toucher un pis, Un pis de ma vie. Je suis ainsi, tant pis Et c'est dommage. La fille de la fermière est charmante et on a le même âge Par bonheur pour les amoureux, Il est au grand air d'autres jeux Des jeux que j'aime davantage. (Refrain) Couchés dans le foin Avec le soleil pour témoin Un p'tit oiseau qui chante au loin On s'fait des aveux Et des grands serments et des veux On a des brindill's plein les ch'veux On s'embrasse et l'on se trémousse Ah ! que la vie est douce, douce Couchés dans le foin avec le soleil pour témoin. Vous connaissez des femmes du monde Qui jusqu'à quatre-vingts ans restent blondes Qui sont folles de leur corps. Pour leurs amours il leur faut des décors Des tapis, des coussins en or De la lumière tamisée Et des tentures irisées Estompant sous leurs baisers Des appas trop usés, Eh bien tant pis, Mais c'est dommage. Quand on est vigoureux, quand on aime et qu'on a mon âge Tous ces décors sont superflus Les canapés je n'en veux plus Je ne fais plus l'amour en cage Gardez, gardez vos éclairages. (Refrain) Paroles : Jean NOHAIN. Musique : Mireille 1932 © Raoul BRETON autres interprètes: Andrex (1932), Jean LUMIERE (1932), Patrice et Mario (1952), Charles AZNAVOUR (1953), Mireille (1957), Petula CLARK (1964), Lucienne JEUNESSE (1978), Francis LEMARQUE (1988)

"Couchées dans le foin"... / de haut en bas / Audrey HEPBURN / Ava GARDNER / Betty HUTTON / Honor BLACKMAN / Sophia LOREN / Mitzi GAYNOR / Stella STEVENS / Jane RUSSELL / PAROLES DE COUCHES DANS LE FOIN : Il ne faut pas que je vous cache Que j'eus toujours la sainte horreur des vaches. Dans ma famille, c'est un tort, Hélas ! le métier de toréador N'a jamais été notre fort. J'aimerais mieux qu'on m'injurie, Qu'on me pende ou qu'on m'expatrie Plutôt que de toucher un pis, Un pis de ma vie. Je suis ainsi, tant pis Et c'est dommage. La fille de la fermière est charmante et on a le même âge Par bonheur pour les amoureux, Il est au grand air d'autres jeux Des jeux que j'aime davantage. (Refrain) Couchés dans le foin Avec le soleil pour témoin Un p'tit oiseau qui chante au loin On s'fait des aveux Et des grands serments et des veux On a des brindill's plein les ch'veux On s'embrasse et l'on se trémousse Ah ! que la vie est douce, douce Couchés dans le foin avec le soleil pour témoin. Vous connaissez des femmes du monde Qui jusqu'à quatre-vingts ans restent blondes Qui sont folles de leur corps. Pour leurs amours il leur faut des décors Des tapis, des coussins en or De la lumière tamisée Et des tentures irisées Estompant sous leurs baisers Des appas trop usés, Eh bien tant pis, Mais c'est dommage. Quand on est vigoureux, quand on aime et qu'on a mon âge Tous ces décors sont superflus Les canapés je n'en veux plus Je ne fais plus l'amour en cage Gardez, gardez vos éclairages. (Refrain) Paroles : Jean NOHAIN. Musique : Mireille 1932 © Raoul BRETON autres interprètes: Andrex (1932), Jean LUMIERE (1932), Patrice et Mario (1952), Charles AZNAVOUR (1953), Mireille (1957), Petula CLARK (1964), Lucienne JEUNESSE (1978), Francis LEMARQUE (1988)

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#Posté le lundi 04 février 2013 03:20

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