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I-LOVE-VINTAGE-ACTRESSES

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Création : 06/05/2012 à 06:10 Mise à jour : 13/12/2018 à 14:33

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11 articles taggés Dorothy DANDRIDGE

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Dorothy Jean DANDRIDGE, née le 9 novembre 1922 à Cleveland (Ohio) et morte le 8 septembre 1965 à West Hollywood (Californie), est une actrice américaine. C'est la première actrice noire à s'être imposée à Hollywood.

Dorothy Jean DANDRIDGE, née le 9 novembre 1922 à Cleveland (Ohio) et morte le 8 septembre 1965 à West Hollywood (Californie), est une actrice américaine. C'est la première actrice noire à s'être imposée à Hollywood.Dorothy Jean DANDRIDGE, née le 9 novembre 1922 à Cleveland (Ohio) et morte le 8 septembre 1965 à West Hollywood (Californie), est une actrice américaine. C'est la première actrice noire à s'être imposée à Hollywood.Dorothy Jean DANDRIDGE, née le 9 novembre 1922 à Cleveland (Ohio) et morte le 8 septembre 1965 à West Hollywood (Californie), est une actrice américaine. C'est la première actrice noire à s'être imposée à Hollywood.Dorothy Jean DANDRIDGE, née le 9 novembre 1922 à Cleveland (Ohio) et morte le 8 septembre 1965 à West Hollywood (Californie), est une actrice américaine. C'est la première actrice noire à s'être imposée à Hollywood.Dorothy Jean DANDRIDGE, née le 9 novembre 1922 à Cleveland (Ohio) et morte le 8 septembre 1965 à West Hollywood (Californie), est une actrice américaine. C'est la première actrice noire à s'être imposée à Hollywood.Dorothy Jean DANDRIDGE, née le 9 novembre 1922 à Cleveland (Ohio) et morte le 8 septembre 1965 à West Hollywood (Californie), est une actrice américaine. C'est la première actrice noire à s'être imposée à Hollywood.Dorothy Jean DANDRIDGE, née le 9 novembre 1922 à Cleveland (Ohio) et morte le 8 septembre 1965 à West Hollywood (Californie), est une actrice américaine. C'est la première actrice noire à s'être imposée à Hollywood.Dorothy Jean DANDRIDGE, née le 9 novembre 1922 à Cleveland (Ohio) et morte le 8 septembre 1965 à West Hollywood (Californie), est une actrice américaine. C'est la première actrice noire à s'être imposée à Hollywood.
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#Posté le vendredi 11 mai 2012 02:01

Modifié le lundi 01 avril 2013 05:32

Dorothy DANDRIDGE pictures (part 2).

Dorothy DANDRIDGE pictures (part 2).Dorothy DANDRIDGE pictures (part 2).Dorothy DANDRIDGE pictures (part 2).Dorothy DANDRIDGE pictures (part 2).Dorothy DANDRIDGE pictures (part 2).Dorothy DANDRIDGE pictures (part 2).Dorothy DANDRIDGE pictures (part 2).Dorothy DANDRIDGE pictures (part 2).
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#Posté le mardi 22 mai 2012 13:46

LA RECLAME (publicité) et les STARS (de haut en bas) : Rosalind RUSSELL / Suzy PARKER / Yvonne De CARLO / Betty HUTTON / Dorothy DANDRIDGE / Deborah KERR / Elizabeth TAYLOR / Mona FREEMAN

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#Posté le lundi 28 mai 2012 03:22

LES PLUS BELLES BRUNES : de haut en bas : Jane RUSSELL / Ava GARDNER / Dorothy DANDRIDGE / Elizabeth TAYLOR / Gene TIERNEY / Linda DARNELL / Paulette GODDARD / Sophia LOREN.

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#Posté le jeudi 07 juin 2012 14:32

1951 / Dorothy DANDRIDGE by Edward CLARK

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#Posté le dimanche 19 août 2012 14:02

1959 / Dorothy DANDRIDGE donne la réplique à Sidney POITIER et Sammy DAVIS Jr dans le film musical "Porgy and Bess"...

1959 / Dorothy DANDRIDGE donne la réplique à Sidney POITIER et Sammy DAVIS Jr dans le film musical "Porgy and Bess"...1959 / Dorothy DANDRIDGE donne la réplique à Sidney POITIER et Sammy DAVIS Jr dans le film musical "Porgy and Bess"...1959 / Dorothy DANDRIDGE donne la réplique à Sidney POITIER et Sammy DAVIS Jr dans le film musical "Porgy and Bess"...1959 / Dorothy DANDRIDGE donne la réplique à Sidney POITIER et Sammy DAVIS Jr dans le film musical "Porgy and Bess"...1959 / Dorothy DANDRIDGE donne la réplique à Sidney POITIER et Sammy DAVIS Jr dans le film musical "Porgy and Bess"...1959 / Dorothy DANDRIDGE donne la réplique à Sidney POITIER et Sammy DAVIS Jr dans le film musical "Porgy and Bess"...1959 / Dorothy DANDRIDGE donne la réplique à Sidney POITIER et Sammy DAVIS Jr dans le film musical "Porgy and Bess"...1959 / Dorothy DANDRIDGE donne la réplique à Sidney POITIER et Sammy DAVIS Jr dans le film musical "Porgy and Bess"...
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#Posté le lundi 08 octobre 2012 10:12

L'exotisme (du grec tardif exô- « au-dehors », exôtikos « étranger, extérieur ») est une attitude culturelle de goût pour l'étranger. Le phénomène se constate à plusieurs reprises dans l'histoire des civilisations en expansion. La curiosité de la société romaine pour les religions en marge de l'Empire, ou les temps d'ouverture de la Chine à la culture européenne pourraient relever de l'exotisme. Cependant, cette attitude s'exprime avec plus d'amplitude et de variété en Occident, suite à la mondialisation : des grandes découvertes au commerce globalisé actuel, en passant par le colonialisme. Avec Claude LEVI-STRAUSS on ajoutera un critère essentiel, l'occident est désormais une culture anthropologique, elle ne confond plus l'étranger avec l'imitation qu'elle en fait, elle sait ce qu'exotisme veut dire. Une création d'inspiration étrangère cesse d'être exotique lorsqu'elle inspire en retour cet étranger, comme l'impressionnisme au Japon ou PICASSO en Afrique. (de haut en bas) Anita EKBERG / Joanna PETTET / Dorothy DANDRIDGE / Ava GARDNER / Rhonda FLEMING / Gene TIERNEY / Rita HAYWORTH / Dorothy LAMOUR

L'exotisme (du grec tardif exô- « au-dehors », exôtikos « étranger, extérieur ») est une attitude culturelle de goût pour l'étranger. Le phénomène se constate à plusieurs reprises dans l'histoire des civilisations en expansion. La curiosité de la société romaine pour les religions en marge de l'Empire, ou les temps d'ouverture de la Chine à la culture européenne pourraient relever de l'exotisme. Cependant, cette attitude s'exprime avec plus d'amplitude et de variété en Occident, suite à la mondialisation : des grandes découvertes au commerce globalisé actuel, en passant par le colonialisme. Avec Claude LEVI-STRAUSS on ajoutera un critère essentiel, l'occident est désormais une culture anthropologique, elle ne confond plus l'étranger avec l'imitation qu'elle en fait, elle sait ce qu'exotisme veut dire. Une création d'inspiration étrangère cesse d'être exotique lorsqu'elle inspire en retour cet étranger, comme l'impressionnisme au Japon ou PICASSO en Afrique. (de haut en bas) Anita EKBERG / Joanna PETTET / Dorothy DANDRIDGE / Ava GARDNER / Rhonda FLEMING / Gene TIERNEY / Rita HAYWORTH / Dorothy LAMOURL'exotisme (du grec tardif exô- « au-dehors », exôtikos « étranger, extérieur ») est une attitude culturelle de goût pour l'étranger. Le phénomène se constate à plusieurs reprises dans l'histoire des civilisations en expansion. La curiosité de la société romaine pour les religions en marge de l'Empire, ou les temps d'ouverture de la Chine à la culture européenne pourraient relever de l'exotisme. Cependant, cette attitude s'exprime avec plus d'amplitude et de variété en Occident, suite à la mondialisation : des grandes découvertes au commerce globalisé actuel, en passant par le colonialisme. Avec Claude LEVI-STRAUSS on ajoutera un critère essentiel, l'occident est désormais une culture anthropologique, elle ne confond plus l'étranger avec l'imitation qu'elle en fait, elle sait ce qu'exotisme veut dire. Une création d'inspiration étrangère cesse d'être exotique lorsqu'elle inspire en retour cet étranger, comme l'impressionnisme au Japon ou PICASSO en Afrique. (de haut en bas) Anita EKBERG / Joanna PETTET / Dorothy DANDRIDGE / Ava GARDNER / Rhonda FLEMING / Gene TIERNEY / Rita HAYWORTH / Dorothy LAMOURL'exotisme (du grec tardif exô- « au-dehors », exôtikos « étranger, extérieur ») est une attitude culturelle de goût pour l'étranger. Le phénomène se constate à plusieurs reprises dans l'histoire des civilisations en expansion. La curiosité de la société romaine pour les religions en marge de l'Empire, ou les temps d'ouverture de la Chine à la culture européenne pourraient relever de l'exotisme. Cependant, cette attitude s'exprime avec plus d'amplitude et de variété en Occident, suite à la mondialisation : des grandes découvertes au commerce globalisé actuel, en passant par le colonialisme. Avec Claude LEVI-STRAUSS on ajoutera un critère essentiel, l'occident est désormais une culture anthropologique, elle ne confond plus l'étranger avec l'imitation qu'elle en fait, elle sait ce qu'exotisme veut dire. Une création d'inspiration étrangère cesse d'être exotique lorsqu'elle inspire en retour cet étranger, comme l'impressionnisme au Japon ou PICASSO en Afrique. (de haut en bas) Anita EKBERG / Joanna PETTET / Dorothy DANDRIDGE / Ava GARDNER / Rhonda FLEMING / Gene TIERNEY / Rita HAYWORTH / Dorothy LAMOURL'exotisme (du grec tardif exô- « au-dehors », exôtikos « étranger, extérieur ») est une attitude culturelle de goût pour l'étranger. Le phénomène se constate à plusieurs reprises dans l'histoire des civilisations en expansion. La curiosité de la société romaine pour les religions en marge de l'Empire, ou les temps d'ouverture de la Chine à la culture européenne pourraient relever de l'exotisme. Cependant, cette attitude s'exprime avec plus d'amplitude et de variété en Occident, suite à la mondialisation : des grandes découvertes au commerce globalisé actuel, en passant par le colonialisme. Avec Claude LEVI-STRAUSS on ajoutera un critère essentiel, l'occident est désormais une culture anthropologique, elle ne confond plus l'étranger avec l'imitation qu'elle en fait, elle sait ce qu'exotisme veut dire. Une création d'inspiration étrangère cesse d'être exotique lorsqu'elle inspire en retour cet étranger, comme l'impressionnisme au Japon ou PICASSO en Afrique. (de haut en bas) Anita EKBERG / Joanna PETTET / Dorothy DANDRIDGE / Ava GARDNER / Rhonda FLEMING / Gene TIERNEY / Rita HAYWORTH / Dorothy LAMOURL'exotisme (du grec tardif exô- « au-dehors », exôtikos « étranger, extérieur ») est une attitude culturelle de goût pour l'étranger. Le phénomène se constate à plusieurs reprises dans l'histoire des civilisations en expansion. 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(de haut en bas) Anita EKBERG / Joanna PETTET / Dorothy DANDRIDGE / Ava GARDNER / Rhonda FLEMING / Gene TIERNEY / Rita HAYWORTH / Dorothy LAMOURL'exotisme (du grec tardif exô- « au-dehors », exôtikos « étranger, extérieur ») est une attitude culturelle de goût pour l'étranger. Le phénomène se constate à plusieurs reprises dans l'histoire des civilisations en expansion. La curiosité de la société romaine pour les religions en marge de l'Empire, ou les temps d'ouverture de la Chine à la culture européenne pourraient relever de l'exotisme. Cependant, cette attitude s'exprime avec plus d'amplitude et de variété en Occident, suite à la mondialisation : des grandes découvertes au commerce globalisé actuel, en passant par le colonialisme. Avec Claude LEVI-STRAUSS on ajoutera un critère essentiel, l'occident est désormais une culture anthropologique, elle ne confond plus l'étranger avec l'imitation qu'elle en fait, elle sait ce qu'exotisme veut dire. 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Cependant, cette attitude s'exprime avec plus d'amplitude et de variété en Occident, suite à la mondialisation : des grandes découvertes au commerce globalisé actuel, en passant par le colonialisme. Avec Claude LEVI-STRAUSS on ajoutera un critère essentiel, l'occident est désormais une culture anthropologique, elle ne confond plus l'étranger avec l'imitation qu'elle en fait, elle sait ce qu'exotisme veut dire. Une création d'inspiration étrangère cesse d'être exotique lorsqu'elle inspire en retour cet étranger, comme l'impressionnisme au Japon ou PICASSO en Afrique. (de haut en bas) Anita EKBERG / Joanna PETTET / Dorothy DANDRIDGE / Ava GARDNER / Rhonda FLEMING / Gene TIERNEY / Rita HAYWORTH / Dorothy LAMOUR
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#Posté le jeudi 08 novembre 2012 02:31

"Danse avec les STARS..." (de haut en bas) Sheree NORTH / Cyd CHARISSE and Fred ASTAIRE / Virginia MAYO / Ann MILLER / Debbie REYNOLDS and Gene KELLY / Connie FRANCIS / Grace KELLY and Louis JOURDAN / Dorothy DANDRIDGE

"Danse avec les STARS..." (de haut en bas) Sheree NORTH / Cyd CHARISSE and Fred ASTAIRE / Virginia MAYO / Ann MILLER / Debbie REYNOLDS and Gene KELLY / Connie FRANCIS / Grace KELLY and Louis JOURDAN / Dorothy DANDRIDGE"Danse avec les STARS..." (de haut en bas) Sheree NORTH / Cyd CHARISSE and Fred ASTAIRE / Virginia MAYO / Ann MILLER / Debbie REYNOLDS and Gene KELLY / Connie FRANCIS / Grace KELLY and Louis JOURDAN / Dorothy DANDRIDGE"Danse avec les STARS..." (de haut en bas) Sheree NORTH / Cyd CHARISSE and Fred ASTAIRE / Virginia MAYO / Ann MILLER / Debbie REYNOLDS and Gene KELLY / Connie FRANCIS / Grace KELLY and Louis JOURDAN / Dorothy DANDRIDGE"Danse avec les STARS..." (de haut en bas) Sheree NORTH / Cyd CHARISSE and Fred ASTAIRE / Virginia MAYO / Ann MILLER / Debbie REYNOLDS and Gene KELLY / Connie FRANCIS / Grace KELLY and Louis JOURDAN / Dorothy DANDRIDGE"Danse avec les STARS..." (de haut en bas) Sheree NORTH / Cyd CHARISSE and Fred ASTAIRE / Virginia MAYO / Ann MILLER / Debbie REYNOLDS and Gene KELLY / Connie FRANCIS / Grace KELLY and Louis JOURDAN / Dorothy DANDRIDGE"Danse avec les STARS..." (de haut en bas) Sheree NORTH / Cyd CHARISSE and Fred ASTAIRE / Virginia MAYO / Ann MILLER / Debbie REYNOLDS and Gene KELLY / Connie FRANCIS / Grace KELLY and Louis JOURDAN / Dorothy DANDRIDGE"Danse avec les STARS..." (de haut en bas) Sheree NORTH / Cyd CHARISSE and Fred ASTAIRE / Virginia MAYO / Ann MILLER / Debbie REYNOLDS and Gene KELLY / Connie FRANCIS / Grace KELLY and Louis JOURDAN / Dorothy DANDRIDGE"Danse avec les STARS..." (de haut en bas) Sheree NORTH / Cyd CHARISSE and Fred ASTAIRE / Virginia MAYO / Ann MILLER / Debbie REYNOLDS and Gene KELLY / Connie FRANCIS / Grace KELLY and Louis JOURDAN / Dorothy DANDRIDGE
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#Posté le mercredi 21 novembre 2012 09:12

REVANCHE / Les actrices noires au cinema / L'absence de représentation des Noirs ou alors de manière tout à fait négative (début XXème jusqu'à la fin des 1940's). Cette absence de représentation s'explique assez facilement, compte tenu des lois ségrégationnistes et du racisme ambiant, dans le sud des Etats-Unis notamment. Impossible dans ces conditions de choisir un Noir pour héros. Le code censure interdisait également de représenter à l'écran des relations sexuelles entre personnes de races différentes ou des scènes de violence. C'est la raison pour laquelle les premiers films ne reviennent guère sur les dures conditions d'existence des esclaves (abolition en 1865). De la même manière, les rôles de Noirs sont joués généralement par des acteurs blancs grimés (absence d'acteurs noirs, poids des préjugés). Néanmoins, deux grands classiques du cinéma américain évoque l'esclavage, au moins indirectement : - « Birth of a nation » (1915) de D.W. GRIFFITH, qui s'inspire d'un livre de Thomas DIXON (The Klansman), à la gloire du Ku Klux Klan. Le réalisateur y décrit l'épouvante provoquée par un pouvoir noir qui règnerait dans le Sud depuis la fin de la guerre de Sécession. Les accusations de racisme poussent d'ailleurs GRIFFITH à réaliser « Intolérance » (1916). - Dans « Autant en emporte le vent », le travail des esclaves dans les champs est peu montré. Le rôle s'intéresse avant tout à la nourrice de Scarlet, rôle typique de l'esclave domestique qui vénère sa maîtresse et se plie à toutes ses volontés (ce rôle vaudra l'oscar du meilleur second rôle féminin à Hattie MacDANIEL ). Au bout du compte, les conséquences de l'esclavage ne sont pas, ou fugacement, évoquées. Après la première guerre mondiale, la représentation des Noirs évolue quelque peu, mais ils restent cantonnés dans un très petit nombre de rôles : serviteur, danseur, musicien. En effet, musique et danse sont les rares talents reconnus alors aux Noirs. La découverte du Jazz met ainsi à la mode le folklore noir (« Le chanteur de Jazz » d'Alan CROSLAND). Les rôles de Noirs à l'écran s'avèrent très stéréotypés (syndrome de l'oncle Tom) avec des personnages souriants et irréprochables, qui acceptent toutes les injustices. Il faut vraiment attendre la fin des années 1940 pour voir des films qui proposent des rôles positifs aux Noirs Américains (« Pinky » d'Elia KAZAN ; « L'intrus » d'après W. FAULKNER). Sidney POITIER, premier acteur noir vraiment reconnu à Hollywood incarne ainsi un médecin brillant ("No way out" de MANKIEWICZ en 1950), un officier de police surdoué dans « la chaleur de la nuit » de Norman JEWISON (1968), un brillant chimiste dans « Devine qui vient dîner ? » de Stanley KRAMER (1967). Il campe des personnages bien sous tous rapports, présentables, issus de la classe moyenne mais davantage tolérés qu'acceptés par la société blanche dans laquelle ils évoluent. Au fond, il incarne l'idéal intégrationniste. Les films dans lesquels apparaissait Sidney POITIER laissaient entendre qu'il était possible pour les Noirs d'être acceptés dans la société américaine. La réalité était pourtant différente pour beaucoup ( émeutes raciales qui secouent les Etats-Unis, appel des Black Panthers à passer à l'action militante). Ne pouvant traiter ouvertement du racisme dans le film qu'il voulait faire, George ROMERO utilise le cinéma de genre (l'horreur) pour traiter du racisme, en évitant ainsi la censure directe. Dans "La Nuit des morts-vivants" (1968), il stigmatise les travers individualistes de la société états-unienne et de ses valeurs familiales, et s'attaque au racisme qui la gangrène : une petite fille achève sa mère adorée à coups de truelle, un frère devenu zombie revient dévorer sa s½ur, pendant qu'à l'extérieur, les humains se regroupent en milices fascistes et finissent par tuer le seul personnage positif du film, ayant survécu aux zombies, mais qui a le malheur d'être noir... (cf. Rouge n° 2124). A parti de 1971, la naissance de la Blaxploitation (contraction des mots « black » et « exploitation ») constitue la première offensive cinématographique noire contre la représentation traditionnelle et dévalorisante des Noirs à l'écran. Des films plus en phase en tout cas avec l'existence des Afro-américains, notamment dans les ghettos. Pour la première fois, ils deviennent acteurs de leur destin à l'écran, plus seulement des personnages passifs. (de haut en bas) Pearl BAILEY (29 Mars 1918 - 17 Août 1990, actrice-chanteuse) / Dorothy DANDRIDGE (9 Novembre 1922 - 8 Septembre 1965, actrice) / Thelma CARPENTER (15 Janvier 1922 - 14 Mai 1997, actrice-chanteuse) / Hattie MacDANIEL (10 Juin 1895 - 26 Octobre 1952, actrice) / Carmen De LAVALLADE (6 Mars 1931, actrice-danseuse) / Joyce BRYANT surnommée "The black Marilyn MONROE" (actrice-chanteuse) / Diahann CARROLL (17 Juillet 1935, actrice-chanteuse) / Jane WHITE (30 Octobre 1922 - 24 Juillet 2011, actrice). La plupart des photos sont signées Carl Van VERCHTEN, prisent dans les années 40-50.

REVANCHE / Les actrices noires au cinema /  L’absence de représentation des Noirs ou alors de manière tout à fait négative (début XXème jusqu’à la fin des 1940’s).    Cette absence de représentation s’explique assez facilement, compte tenu des lois ségrégationnistes et du racisme ambiant, dans le sud des Etats-Unis notamment. Impossible dans ces conditions de choisir un Noir pour héros. Le code censure interdisait également de représenter à l’écran des relations sexuelles entre personnes de races différentes ou des scènes de violence. C’est la raison pour laquelle les premiers films ne reviennent guère sur les dures conditions d’existence des esclaves (abolition en 1865).   De la même manière, les rôles de Noirs sont joués généralement par des acteurs blancs grimés (absence d’acteurs noirs, poids des préjugés).   Néanmoins, deux grands classiques du cinéma américain évoque l’esclavage, au moins indirectement :     - « Birth of a nation » (1915) de D.W. GRIFFITH, qui s’inspire d’un livre de Thomas DIXON (The Klansman), à la gloire du Ku Klux Klan. Le réalisateur y décrit l’épouvante provoquée par un pouvoir noir qui règnerait dans le Sud depuis la fin de la guerre de Sécession. Les accusations de racisme poussent d’ailleurs GRIFFITH à réaliser « Intolérance » (1916).   - Dans « Autant en emporte le vent », le travail des esclaves dans les champs est peu montré. Le rôle s’intéresse avant tout à la nourrice de Scarlet, rôle typique de l’esclave domestique qui vénère sa maîtresse et se plie à toutes ses volontés (ce rôle vaudra l’oscar du meilleur second rôle féminin à Hattie MacDANIEL  ). Au bout du compte, les conséquences de l’esclavage ne sont pas, ou fugacement, évoquées.   Après la première guerre mondiale, la représentation des Noirs évolue quelque peu, mais ils restent cantonnés dans un très petit nombre de rôles : serviteur,  danseur, musicien. En effet, musique et danse sont les rares talents reconnus alors aux Noirs. La découverte du Jazz met ainsi à la mode le folklore noir  (« Le chanteur de Jazz » d’Alan CROSLAND).  Les rôles de  Noirs à l’écran s’avèrent très stéréotypés (syndrome de l’oncle Tom) avec des personnages souriants et irréprochables, qui acceptent toutes les injustices.   Il faut vraiment attendre la fin des années 1940 pour voir des films qui proposent des rôles positifs aux Noirs Américains (« Pinky » d’Elia KAZAN ; « L’intrus » d’après W. FAULKNER).  Sidney POITIER, premier acteur noir vraiment reconnu à Hollywood  incarne ainsi un médecin brillant ("No way out" de MANKIEWICZ en 1950), un officier de police surdoué dans « la chaleur de la nuit » de Norman JEWISON (1968), un brillant chimiste dans « Devine qui vient dîner ? » de Stanley KRAMER (1967). Il campe des personnages bien sous tous rapports, présentables, issus de la classe moyenne mais davantage tolérés qu’acceptés par la société blanche dans laquelle ils évoluent.    Au fond, il incarne l’idéal intégrationniste. Les films dans lesquels apparaissait Sidney POITIER laissaient entendre qu’il était possible pour les Noirs d’être acceptés dans la société américaine. La réalité était pourtant différente pour beaucoup ( émeutes raciales qui secouent les Etats-Unis, appel des Black Panthers à passer à l’action militante).     Ne pouvant traiter ouvertement du racisme dans le film qu’il voulait faire, George ROMERO  utilise le cinéma de genre (l’horreur) pour traiter du racisme, en évitant ainsi  la censure directe. Dans "La Nuit des morts-vivants" (1968), il stigmatise les travers individualistes de la société états-unienne et de ses valeurs familiales, et s’attaque au racisme qui la gangrène : une petite fille achève sa mère adorée à coups de truelle, un frère devenu zombie revient dévorer sa s½ur, pendant qu’à l’extérieur, les humains se regroupent en milices fascistes et finissent par tuer le seul personnage positif du film, ayant survécu aux zombies, mais qui a le malheur d’être noir… (cf. Rouge n° 2124).   A parti de 1971, la naissance de la Blaxploitation (contraction des mots « black » et « exploitation ») constitue la première offensive cinématographique noire contre la représentation traditionnelle et dévalorisante des Noirs à l’écran. Des films plus en phase en tout cas avec l’existence des Afro-américains, notamment dans les ghettos. Pour la première fois, ils deviennent acteurs de leur destin à l’écran, plus seulement des personnages passifs. (de haut en bas) Pearl BAILEY (29 Mars 1918 - 17 Août 1990, actrice-chanteuse) / Dorothy DANDRIDGE (9 Novembre 1922 - 8 Septembre 1965, actrice) / Thelma CARPENTER (15 Janvier 1922 - 14 Mai 1997, actrice-chanteuse) / Hattie MacDANIEL (10 Juin 1895 - 26 Octobre 1952, actrice) / Carmen De LAVALLADE (6 Mars 1931, actrice-danseuse) / Joyce BRYANT surnommée "The black Marilyn MONROE" (actrice-chanteuse) / Diahann CARROLL (17 Juillet 1935, actrice-chanteuse) / Jane WHITE (30 Octobre 1922 - 24 Juillet 2011, actrice). La plupart des photos sont signées Carl Van VERCHTEN, prisent dans les années 40-50.REVANCHE / Les actrices noires au cinema /  L’absence de représentation des Noirs ou alors de manière tout à fait négative (début XXème jusqu’à la fin des 1940’s).    Cette absence de représentation s’explique assez facilement, compte tenu des lois ségrégationnistes et du racisme ambiant, dans le sud des Etats-Unis notamment. Impossible dans ces conditions de choisir un Noir pour héros. Le code censure interdisait également de représenter à l’écran des relations sexuelles entre personnes de races différentes ou des scènes de violence. C’est la raison pour laquelle les premiers films ne reviennent guère sur les dures conditions d’existence des esclaves (abolition en 1865).   De la même manière, les rôles de Noirs sont joués généralement par des acteurs blancs grimés (absence d’acteurs noirs, poids des préjugés).   Néanmoins, deux grands classiques du cinéma américain évoque l’esclavage, au moins indirectement :     - « Birth of a nation » (1915) de D.W. GRIFFITH, qui s’inspire d’un livre de Thomas DIXON (The Klansman), à la gloire du Ku Klux Klan. Le réalisateur y décrit l’épouvante provoquée par un pouvoir noir qui règnerait dans le Sud depuis la fin de la guerre de Sécession. Les accusations de racisme poussent d’ailleurs GRIFFITH à réaliser « Intolérance » (1916).   - Dans « Autant en emporte le vent », le travail des esclaves dans les champs est peu montré. Le rôle s’intéresse avant tout à la nourrice de Scarlet, rôle typique de l’esclave domestique qui vénère sa maîtresse et se plie à toutes ses volontés (ce rôle vaudra l’oscar du meilleur second rôle féminin à Hattie MacDANIEL  ). Au bout du compte, les conséquences de l’esclavage ne sont pas, ou fugacement, évoquées.   Après la première guerre mondiale, la représentation des Noirs évolue quelque peu, mais ils restent cantonnés dans un très petit nombre de rôles : serviteur,  danseur, musicien. En effet, musique et danse sont les rares talents reconnus alors aux Noirs. La découverte du Jazz met ainsi à la mode le folklore noir  (« Le chanteur de Jazz » d’Alan CROSLAND).  Les rôles de  Noirs à l’écran s’avèrent très stéréotypés (syndrome de l’oncle Tom) avec des personnages souriants et irréprochables, qui acceptent toutes les injustices.   Il faut vraiment attendre la fin des années 1940 pour voir des films qui proposent des rôles positifs aux Noirs Américains (« Pinky » d’Elia KAZAN ; « L’intrus » d’après W. FAULKNER).  Sidney POITIER, premier acteur noir vraiment reconnu à Hollywood  incarne ainsi un médecin brillant ("No way out" de MANKIEWICZ en 1950), un officier de police surdoué dans « la chaleur de la nuit » de Norman JEWISON (1968), un brillant chimiste dans « Devine qui vient dîner ? » de Stanley KRAMER (1967). Il campe des personnages bien sous tous rapports, présentables, issus de la classe moyenne mais davantage tolérés qu’acceptés par la société blanche dans laquelle ils évoluent.    Au fond, il incarne l’idéal intégrationniste. Les films dans lesquels apparaissait Sidney POITIER laissaient entendre qu’il était possible pour les Noirs d’être acceptés dans la société américaine. La réalité était pourtant différente pour beaucoup ( émeutes raciales qui secouent les Etats-Unis, appel des Black Panthers à passer à l’action militante).     Ne pouvant traiter ouvertement du racisme dans le film qu’il voulait faire, George ROMERO  utilise le cinéma de genre (l’horreur) pour traiter du racisme, en évitant ainsi  la censure directe. Dans "La Nuit des morts-vivants" (1968), il stigmatise les travers individualistes de la société états-unienne et de ses valeurs familiales, et s’attaque au racisme qui la gangrène : une petite fille achève sa mère adorée à coups de truelle, un frère devenu zombie revient dévorer sa s½ur, pendant qu’à l’extérieur, les humains se regroupent en milices fascistes et finissent par tuer le seul personnage positif du film, ayant survécu aux zombies, mais qui a le malheur d’être noir… (cf. Rouge n° 2124).   A parti de 1971, la naissance de la Blaxploitation (contraction des mots « black » et « exploitation ») constitue la première offensive cinématographique noire contre la représentation traditionnelle et dévalorisante des Noirs à l’écran. Des films plus en phase en tout cas avec l’existence des Afro-américains, notamment dans les ghettos. Pour la première fois, ils deviennent acteurs de leur destin à l’écran, plus seulement des personnages passifs. (de haut en bas) Pearl BAILEY (29 Mars 1918 - 17 Août 1990, actrice-chanteuse) / Dorothy DANDRIDGE (9 Novembre 1922 - 8 Septembre 1965, actrice) / Thelma CARPENTER (15 Janvier 1922 - 14 Mai 1997, actrice-chanteuse) / Hattie MacDANIEL (10 Juin 1895 - 26 Octobre 1952, actrice) / Carmen De LAVALLADE (6 Mars 1931, actrice-danseuse) / Joyce BRYANT surnommée "The black Marilyn MONROE" (actrice-chanteuse) / Diahann CARROLL (17 Juillet 1935, actrice-chanteuse) / Jane WHITE (30 Octobre 1922 - 24 Juillet 2011, actrice). La plupart des photos sont signées Carl Van VERCHTEN, prisent dans les années 40-50.REVANCHE / Les actrices noires au cinema /  L’absence de représentation des Noirs ou alors de manière tout à fait négative (début XXème jusqu’à la fin des 1940’s).    Cette absence de représentation s’explique assez facilement, compte tenu des lois ségrégationnistes et du racisme ambiant, dans le sud des Etats-Unis notamment. Impossible dans ces conditions de choisir un Noir pour héros. Le code censure interdisait également de représenter à l’écran des relations sexuelles entre personnes de races différentes ou des scènes de violence. C’est la raison pour laquelle les premiers films ne reviennent guère sur les dures conditions d’existence des esclaves (abolition en 1865).   De la même manière, les rôles de Noirs sont joués généralement par des acteurs blancs grimés (absence d’acteurs noirs, poids des préjugés).   Néanmoins, deux grands classiques du cinéma américain évoque l’esclavage, au moins indirectement :     - « Birth of a nation » (1915) de D.W. GRIFFITH, qui s’inspire d’un livre de Thomas DIXON (The Klansman), à la gloire du Ku Klux Klan. Le réalisateur y décrit l’épouvante provoquée par un pouvoir noir qui règnerait dans le Sud depuis la fin de la guerre de Sécession. Les accusations de racisme poussent d’ailleurs GRIFFITH à réaliser « Intolérance » (1916).   - Dans « Autant en emporte le vent », le travail des esclaves dans les champs est peu montré. Le rôle s’intéresse avant tout à la nourrice de Scarlet, rôle typique de l’esclave domestique qui vénère sa maîtresse et se plie à toutes ses volontés (ce rôle vaudra l’oscar du meilleur second rôle féminin à Hattie MacDANIEL  ). Au bout du compte, les conséquences de l’esclavage ne sont pas, ou fugacement, évoquées.   Après la première guerre mondiale, la représentation des Noirs évolue quelque peu, mais ils restent cantonnés dans un très petit nombre de rôles : serviteur,  danseur, musicien. En effet, musique et danse sont les rares talents reconnus alors aux Noirs. La découverte du Jazz met ainsi à la mode le folklore noir  (« Le chanteur de Jazz » d’Alan CROSLAND).  Les rôles de  Noirs à l’écran s’avèrent très stéréotypés (syndrome de l’oncle Tom) avec des personnages souriants et irréprochables, qui acceptent toutes les injustices.   Il faut vraiment attendre la fin des années 1940 pour voir des films qui proposent des rôles positifs aux Noirs Américains (« Pinky » d’Elia KAZAN ; « L’intrus » d’après W. FAULKNER).  Sidney POITIER, premier acteur noir vraiment reconnu à Hollywood  incarne ainsi un médecin brillant ("No way out" de MANKIEWICZ en 1950), un officier de police surdoué dans « la chaleur de la nuit » de Norman JEWISON (1968), un brillant chimiste dans « Devine qui vient dîner ? » de Stanley KRAMER (1967). Il campe des personnages bien sous tous rapports, présentables, issus de la classe moyenne mais davantage tolérés qu’acceptés par la société blanche dans laquelle ils évoluent.    Au fond, il incarne l’idéal intégrationniste. Les films dans lesquels apparaissait Sidney POITIER laissaient entendre qu’il était possible pour les Noirs d’être acceptés dans la société américaine. La réalité était pourtant différente pour beaucoup ( émeutes raciales qui secouent les Etats-Unis, appel des Black Panthers à passer à l’action militante).     Ne pouvant traiter ouvertement du racisme dans le film qu’il voulait faire, George ROMERO  utilise le cinéma de genre (l’horreur) pour traiter du racisme, en évitant ainsi  la censure directe. Dans "La Nuit des morts-vivants" (1968), il stigmatise les travers individualistes de la société états-unienne et de ses valeurs familiales, et s’attaque au racisme qui la gangrène : une petite fille achève sa mère adorée à coups de truelle, un frère devenu zombie revient dévorer sa s½ur, pendant qu’à l’extérieur, les humains se regroupent en milices fascistes et finissent par tuer le seul personnage positif du film, ayant survécu aux zombies, mais qui a le malheur d’être noir… (cf. Rouge n° 2124).   A parti de 1971, la naissance de la Blaxploitation (contraction des mots « black » et « exploitation ») constitue la première offensive cinématographique noire contre la représentation traditionnelle et dévalorisante des Noirs à l’écran. Des films plus en phase en tout cas avec l’existence des Afro-américains, notamment dans les ghettos. Pour la première fois, ils deviennent acteurs de leur destin à l’écran, plus seulement des personnages passifs. (de haut en bas) Pearl BAILEY (29 Mars 1918 - 17 Août 1990, actrice-chanteuse) / Dorothy DANDRIDGE (9 Novembre 1922 - 8 Septembre 1965, actrice) / Thelma CARPENTER (15 Janvier 1922 - 14 Mai 1997, actrice-chanteuse) / Hattie MacDANIEL (10 Juin 1895 - 26 Octobre 1952, actrice) / Carmen De LAVALLADE (6 Mars 1931, actrice-danseuse) / Joyce BRYANT surnommée "The black Marilyn MONROE" (actrice-chanteuse) / Diahann CARROLL (17 Juillet 1935, actrice-chanteuse) / Jane WHITE (30 Octobre 1922 - 24 Juillet 2011, actrice). La plupart des photos sont signées Carl Van VERCHTEN, prisent dans les années 40-50.REVANCHE / Les actrices noires au cinema /  L’absence de représentation des Noirs ou alors de manière tout à fait négative (début XXème jusqu’à la fin des 1940’s).    Cette absence de représentation s’explique assez facilement, compte tenu des lois ségrégationnistes et du racisme ambiant, dans le sud des Etats-Unis notamment. Impossible dans ces conditions de choisir un Noir pour héros. Le code censure interdisait également de représenter à l’écran des relations sexuelles entre personnes de races différentes ou des scènes de violence. C’est la raison pour laquelle les premiers films ne reviennent guère sur les dures conditions d’existence des esclaves (abolition en 1865).   De la même manière, les rôles de Noirs sont joués généralement par des acteurs blancs grimés (absence d’acteurs noirs, poids des préjugés).   Néanmoins, deux grands classiques du cinéma américain évoque l’esclavage, au moins indirectement :     - « Birth of a nation » (1915) de D.W. GRIFFITH, qui s’inspire d’un livre de Thomas DIXON (The Klansman), à la gloire du Ku Klux Klan. Le réalisateur y décrit l’épouvante provoquée par un pouvoir noir qui règnerait dans le Sud depuis la fin de la guerre de Sécession. Les accusations de racisme poussent d’ailleurs GRIFFITH à réaliser « Intolérance » (1916).   - Dans « Autant en emporte le vent », le travail des esclaves dans les champs est peu montré. Le rôle s’intéresse avant tout à la nourrice de Scarlet, rôle typique de l’esclave domestique qui vénère sa maîtresse et se plie à toutes ses volontés (ce rôle vaudra l’oscar du meilleur second rôle féminin à Hattie MacDANIEL  ). Au bout du compte, les conséquences de l’esclavage ne sont pas, ou fugacement, évoquées.   Après la première guerre mondiale, la représentation des Noirs évolue quelque peu, mais ils restent cantonnés dans un très petit nombre de rôles : serviteur,  danseur, musicien. En effet, musique et danse sont les rares talents reconnus alors aux Noirs. La découverte du Jazz met ainsi à la mode le folklore noir  (« Le chanteur de Jazz » d’Alan CROSLAND).  Les rôles de  Noirs à l’écran s’avèrent très stéréotypés (syndrome de l’oncle Tom) avec des personnages souriants et irréprochables, qui acceptent toutes les injustices.   Il faut vraiment attendre la fin des années 1940 pour voir des films qui proposent des rôles positifs aux Noirs Américains (« Pinky » d’Elia KAZAN ; « L’intrus » d’après W. FAULKNER).  Sidney POITIER, premier acteur noir vraiment reconnu à Hollywood  incarne ainsi un médecin brillant ("No way out" de MANKIEWICZ en 1950), un officier de police surdoué dans « la chaleur de la nuit » de Norman JEWISON (1968), un brillant chimiste dans « Devine qui vient dîner ? » de Stanley KRAMER (1967). Il campe des personnages bien sous tous rapports, présentables, issus de la classe moyenne mais davantage tolérés qu’acceptés par la société blanche dans laquelle ils évoluent.    Au fond, il incarne l’idéal intégrationniste. Les films dans lesquels apparaissait Sidney POITIER laissaient entendre qu’il était possible pour les Noirs d’être acceptés dans la société américaine. La réalité était pourtant différente pour beaucoup ( émeutes raciales qui secouent les Etats-Unis, appel des Black Panthers à passer à l’action militante).     Ne pouvant traiter ouvertement du racisme dans le film qu’il voulait faire, George ROMERO  utilise le cinéma de genre (l’horreur) pour traiter du racisme, en évitant ainsi  la censure directe. Dans "La Nuit des morts-vivants" (1968), il stigmatise les travers individualistes de la société états-unienne et de ses valeurs familiales, et s’attaque au racisme qui la gangrène : une petite fille achève sa mère adorée à coups de truelle, un frère devenu zombie revient dévorer sa s½ur, pendant qu’à l’extérieur, les humains se regroupent en milices fascistes et finissent par tuer le seul personnage positif du film, ayant survécu aux zombies, mais qui a le malheur d’être noir… (cf. Rouge n° 2124).   A parti de 1971, la naissance de la Blaxploitation (contraction des mots « black » et « exploitation ») constitue la première offensive cinématographique noire contre la représentation traditionnelle et dévalorisante des Noirs à l’écran. Des films plus en phase en tout cas avec l’existence des Afro-américains, notamment dans les ghettos. Pour la première fois, ils deviennent acteurs de leur destin à l’écran, plus seulement des personnages passifs. (de haut en bas) Pearl BAILEY (29 Mars 1918 - 17 Août 1990, actrice-chanteuse) / Dorothy DANDRIDGE (9 Novembre 1922 - 8 Septembre 1965, actrice) / Thelma CARPENTER (15 Janvier 1922 - 14 Mai 1997, actrice-chanteuse) / Hattie MacDANIEL (10 Juin 1895 - 26 Octobre 1952, actrice) / Carmen De LAVALLADE (6 Mars 1931, actrice-danseuse) / Joyce BRYANT surnommée "The black Marilyn MONROE" (actrice-chanteuse) / Diahann CARROLL (17 Juillet 1935, actrice-chanteuse) / Jane WHITE (30 Octobre 1922 - 24 Juillet 2011, actrice). La plupart des photos sont signées Carl Van VERCHTEN, prisent dans les années 40-50.REVANCHE / Les actrices noires au cinema /  L’absence de représentation des Noirs ou alors de manière tout à fait négative (début XXème jusqu’à la fin des 1940’s).    Cette absence de représentation s’explique assez facilement, compte tenu des lois ségrégationnistes et du racisme ambiant, dans le sud des Etats-Unis notamment. Impossible dans ces conditions de choisir un Noir pour héros. Le code censure interdisait également de représenter à l’écran des relations sexuelles entre personnes de races différentes ou des scènes de violence. C’est la raison pour laquelle les premiers films ne reviennent guère sur les dures conditions d’existence des esclaves (abolition en 1865).   De la même manière, les rôles de Noirs sont joués généralement par des acteurs blancs grimés (absence d’acteurs noirs, poids des préjugés).   Néanmoins, deux grands classiques du cinéma américain évoque l’esclavage, au moins indirectement :     - « Birth of a nation » (1915) de D.W. GRIFFITH, qui s’inspire d’un livre de Thomas DIXON (The Klansman), à la gloire du Ku Klux Klan. Le réalisateur y décrit l’épouvante provoquée par un pouvoir noir qui règnerait dans le Sud depuis la fin de la guerre de Sécession. Les accusations de racisme poussent d’ailleurs GRIFFITH à réaliser « Intolérance » (1916).   - Dans « Autant en emporte le vent », le travail des esclaves dans les champs est peu montré. Le rôle s’intéresse avant tout à la nourrice de Scarlet, rôle typique de l’esclave domestique qui vénère sa maîtresse et se plie à toutes ses volontés (ce rôle vaudra l’oscar du meilleur second rôle féminin à Hattie MacDANIEL  ). Au bout du compte, les conséquences de l’esclavage ne sont pas, ou fugacement, évoquées.   Après la première guerre mondiale, la représentation des Noirs évolue quelque peu, mais ils restent cantonnés dans un très petit nombre de rôles : serviteur,  danseur, musicien. En effet, musique et danse sont les rares talents reconnus alors aux Noirs. La découverte du Jazz met ainsi à la mode le folklore noir  (« Le chanteur de Jazz » d’Alan CROSLAND).  Les rôles de  Noirs à l’écran s’avèrent très stéréotypés (syndrome de l’oncle Tom) avec des personnages souriants et irréprochables, qui acceptent toutes les injustices.   Il faut vraiment attendre la fin des années 1940 pour voir des films qui proposent des rôles positifs aux Noirs Américains (« Pinky » d’Elia KAZAN ; « L’intrus » d’après W. FAULKNER).  Sidney POITIER, premier acteur noir vraiment reconnu à Hollywood  incarne ainsi un médecin brillant ("No way out" de MANKIEWICZ en 1950), un officier de police surdoué dans « la chaleur de la nuit » de Norman JEWISON (1968), un brillant chimiste dans « Devine qui vient dîner ? » de Stanley KRAMER (1967). Il campe des personnages bien sous tous rapports, présentables, issus de la classe moyenne mais davantage tolérés qu’acceptés par la société blanche dans laquelle ils évoluent.    Au fond, il incarne l’idéal intégrationniste. Les films dans lesquels apparaissait Sidney POITIER laissaient entendre qu’il était possible pour les Noirs d’être acceptés dans la société américaine. La réalité était pourtant différente pour beaucoup ( émeutes raciales qui secouent les Etats-Unis, appel des Black Panthers à passer à l’action militante).     Ne pouvant traiter ouvertement du racisme dans le film qu’il voulait faire, George ROMERO  utilise le cinéma de genre (l’horreur) pour traiter du racisme, en évitant ainsi  la censure directe. Dans "La Nuit des morts-vivants" (1968), il stigmatise les travers individualistes de la société états-unienne et de ses valeurs familiales, et s’attaque au racisme qui la gangrène : une petite fille achève sa mère adorée à coups de truelle, un frère devenu zombie revient dévorer sa s½ur, pendant qu’à l’extérieur, les humains se regroupent en milices fascistes et finissent par tuer le seul personnage positif du film, ayant survécu aux zombies, mais qui a le malheur d’être noir… (cf. Rouge n° 2124).   A parti de 1971, la naissance de la Blaxploitation (contraction des mots « black » et « exploitation ») constitue la première offensive cinématographique noire contre la représentation traditionnelle et dévalorisante des Noirs à l’écran. Des films plus en phase en tout cas avec l’existence des Afro-américains, notamment dans les ghettos. Pour la première fois, ils deviennent acteurs de leur destin à l’écran, plus seulement des personnages passifs. (de haut en bas) Pearl BAILEY (29 Mars 1918 - 17 Août 1990, actrice-chanteuse) / Dorothy DANDRIDGE (9 Novembre 1922 - 8 Septembre 1965, actrice) / Thelma CARPENTER (15 Janvier 1922 - 14 Mai 1997, actrice-chanteuse) / Hattie MacDANIEL (10 Juin 1895 - 26 Octobre 1952, actrice) / Carmen De LAVALLADE (6 Mars 1931, actrice-danseuse) / Joyce BRYANT surnommée "The black Marilyn MONROE" (actrice-chanteuse) / Diahann CARROLL (17 Juillet 1935, actrice-chanteuse) / Jane WHITE (30 Octobre 1922 - 24 Juillet 2011, actrice). La plupart des photos sont signées Carl Van VERCHTEN, prisent dans les années 40-50.REVANCHE / Les actrices noires au cinema /  L’absence de représentation des Noirs ou alors de manière tout à fait négative (début XXème jusqu’à la fin des 1940’s).    Cette absence de représentation s’explique assez facilement, compte tenu des lois ségrégationnistes et du racisme ambiant, dans le sud des Etats-Unis notamment. Impossible dans ces conditions de choisir un Noir pour héros. Le code censure interdisait également de représenter à l’écran des relations sexuelles entre personnes de races différentes ou des scènes de violence. C’est la raison pour laquelle les premiers films ne reviennent guère sur les dures conditions d’existence des esclaves (abolition en 1865).   De la même manière, les rôles de Noirs sont joués généralement par des acteurs blancs grimés (absence d’acteurs noirs, poids des préjugés).   Néanmoins, deux grands classiques du cinéma américain évoque l’esclavage, au moins indirectement :     - « Birth of a nation » (1915) de D.W. GRIFFITH, qui s’inspire d’un livre de Thomas DIXON (The Klansman), à la gloire du Ku Klux Klan. Le réalisateur y décrit l’épouvante provoquée par un pouvoir noir qui règnerait dans le Sud depuis la fin de la guerre de Sécession. Les accusations de racisme poussent d’ailleurs GRIFFITH à réaliser « Intolérance » (1916).   - Dans « Autant en emporte le vent », le travail des esclaves dans les champs est peu montré. Le rôle s’intéresse avant tout à la nourrice de Scarlet, rôle typique de l’esclave domestique qui vénère sa maîtresse et se plie à toutes ses volontés (ce rôle vaudra l’oscar du meilleur second rôle féminin à Hattie MacDANIEL  ). Au bout du compte, les conséquences de l’esclavage ne sont pas, ou fugacement, évoquées.   Après la première guerre mondiale, la représentation des Noirs évolue quelque peu, mais ils restent cantonnés dans un très petit nombre de rôles : serviteur,  danseur, musicien. En effet, musique et danse sont les rares talents reconnus alors aux Noirs. La découverte du Jazz met ainsi à la mode le folklore noir  (« Le chanteur de Jazz » d’Alan CROSLAND).  Les rôles de  Noirs à l’écran s’avèrent très stéréotypés (syndrome de l’oncle Tom) avec des personnages souriants et irréprochables, qui acceptent toutes les injustices.   Il faut vraiment attendre la fin des années 1940 pour voir des films qui proposent des rôles positifs aux Noirs Américains (« Pinky » d’Elia KAZAN ; « L’intrus » d’après W. FAULKNER).  Sidney POITIER, premier acteur noir vraiment reconnu à Hollywood  incarne ainsi un médecin brillant ("No way out" de MANKIEWICZ en 1950), un officier de police surdoué dans « la chaleur de la nuit » de Norman JEWISON (1968), un brillant chimiste dans « Devine qui vient dîner ? » de Stanley KRAMER (1967). Il campe des personnages bien sous tous rapports, présentables, issus de la classe moyenne mais davantage tolérés qu’acceptés par la société blanche dans laquelle ils évoluent.    Au fond, il incarne l’idéal intégrationniste. Les films dans lesquels apparaissait Sidney POITIER laissaient entendre qu’il était possible pour les Noirs d’être acceptés dans la société américaine. La réalité était pourtant différente pour beaucoup ( émeutes raciales qui secouent les Etats-Unis, appel des Black Panthers à passer à l’action militante).     Ne pouvant traiter ouvertement du racisme dans le film qu’il voulait faire, George ROMERO  utilise le cinéma de genre (l’horreur) pour traiter du racisme, en évitant ainsi  la censure directe. Dans "La Nuit des morts-vivants" (1968), il stigmatise les travers individualistes de la société états-unienne et de ses valeurs familiales, et s’attaque au racisme qui la gangrène : une petite fille achève sa mère adorée à coups de truelle, un frère devenu zombie revient dévorer sa s½ur, pendant qu’à l’extérieur, les humains se regroupent en milices fascistes et finissent par tuer le seul personnage positif du film, ayant survécu aux zombies, mais qui a le malheur d’être noir… (cf. Rouge n° 2124).   A parti de 1971, la naissance de la Blaxploitation (contraction des mots « black » et « exploitation ») constitue la première offensive cinématographique noire contre la représentation traditionnelle et dévalorisante des Noirs à l’écran. Des films plus en phase en tout cas avec l’existence des Afro-américains, notamment dans les ghettos. Pour la première fois, ils deviennent acteurs de leur destin à l’écran, plus seulement des personnages passifs. (de haut en bas) Pearl BAILEY (29 Mars 1918 - 17 Août 1990, actrice-chanteuse) / Dorothy DANDRIDGE (9 Novembre 1922 - 8 Septembre 1965, actrice) / Thelma CARPENTER (15 Janvier 1922 - 14 Mai 1997, actrice-chanteuse) / Hattie MacDANIEL (10 Juin 1895 - 26 Octobre 1952, actrice) / Carmen De LAVALLADE (6 Mars 1931, actrice-danseuse) / Joyce BRYANT surnommée "The black Marilyn MONROE" (actrice-chanteuse) / Diahann CARROLL (17 Juillet 1935, actrice-chanteuse) / Jane WHITE (30 Octobre 1922 - 24 Juillet 2011, actrice). La plupart des photos sont signées Carl Van VERCHTEN, prisent dans les années 40-50.REVANCHE / Les actrices noires au cinema /  L’absence de représentation des Noirs ou alors de manière tout à fait négative (début XXème jusqu’à la fin des 1940’s).    Cette absence de représentation s’explique assez facilement, compte tenu des lois ségrégationnistes et du racisme ambiant, dans le sud des Etats-Unis notamment. Impossible dans ces conditions de choisir un Noir pour héros. Le code censure interdisait également de représenter à l’écran des relations sexuelles entre personnes de races différentes ou des scènes de violence. C’est la raison pour laquelle les premiers films ne reviennent guère sur les dures conditions d’existence des esclaves (abolition en 1865).   De la même manière, les rôles de Noirs sont joués généralement par des acteurs blancs grimés (absence d’acteurs noirs, poids des préjugés).   Néanmoins, deux grands classiques du cinéma américain évoque l’esclavage, au moins indirectement :     - « Birth of a nation » (1915) de D.W. GRIFFITH, qui s’inspire d’un livre de Thomas DIXON (The Klansman), à la gloire du Ku Klux Klan. Le réalisateur y décrit l’épouvante provoquée par un pouvoir noir qui règnerait dans le Sud depuis la fin de la guerre de Sécession. Les accusations de racisme poussent d’ailleurs GRIFFITH à réaliser « Intolérance » (1916).   - Dans « Autant en emporte le vent », le travail des esclaves dans les champs est peu montré. Le rôle s’intéresse avant tout à la nourrice de Scarlet, rôle typique de l’esclave domestique qui vénère sa maîtresse et se plie à toutes ses volontés (ce rôle vaudra l’oscar du meilleur second rôle féminin à Hattie MacDANIEL  ). Au bout du compte, les conséquences de l’esclavage ne sont pas, ou fugacement, évoquées.   Après la première guerre mondiale, la représentation des Noirs évolue quelque peu, mais ils restent cantonnés dans un très petit nombre de rôles : serviteur,  danseur, musicien. En effet, musique et danse sont les rares talents reconnus alors aux Noirs. La découverte du Jazz met ainsi à la mode le folklore noir  (« Le chanteur de Jazz » d’Alan CROSLAND).  Les rôles de  Noirs à l’écran s’avèrent très stéréotypés (syndrome de l’oncle Tom) avec des personnages souriants et irréprochables, qui acceptent toutes les injustices.   Il faut vraiment attendre la fin des années 1940 pour voir des films qui proposent des rôles positifs aux Noirs Américains (« Pinky » d’Elia KAZAN ; « L’intrus » d’après W. FAULKNER).  Sidney POITIER, premier acteur noir vraiment reconnu à Hollywood  incarne ainsi un médecin brillant ("No way out" de MANKIEWICZ en 1950), un officier de police surdoué dans « la chaleur de la nuit » de Norman JEWISON (1968), un brillant chimiste dans « Devine qui vient dîner ? » de Stanley KRAMER (1967). Il campe des personnages bien sous tous rapports, présentables, issus de la classe moyenne mais davantage tolérés qu’acceptés par la société blanche dans laquelle ils évoluent.    Au fond, il incarne l’idéal intégrationniste. Les films dans lesquels apparaissait Sidney POITIER laissaient entendre qu’il était possible pour les Noirs d’être acceptés dans la société américaine. La réalité était pourtant différente pour beaucoup ( émeutes raciales qui secouent les Etats-Unis, appel des Black Panthers à passer à l’action militante).     Ne pouvant traiter ouvertement du racisme dans le film qu’il voulait faire, George ROMERO  utilise le cinéma de genre (l’horreur) pour traiter du racisme, en évitant ainsi  la censure directe. Dans "La Nuit des morts-vivants" (1968), il stigmatise les travers individualistes de la société états-unienne et de ses valeurs familiales, et s’attaque au racisme qui la gangrène : une petite fille achève sa mère adorée à coups de truelle, un frère devenu zombie revient dévorer sa s½ur, pendant qu’à l’extérieur, les humains se regroupent en milices fascistes et finissent par tuer le seul personnage positif du film, ayant survécu aux zombies, mais qui a le malheur d’être noir… (cf. Rouge n° 2124).   A parti de 1971, la naissance de la Blaxploitation (contraction des mots « black » et « exploitation ») constitue la première offensive cinématographique noire contre la représentation traditionnelle et dévalorisante des Noirs à l’écran. Des films plus en phase en tout cas avec l’existence des Afro-américains, notamment dans les ghettos. Pour la première fois, ils deviennent acteurs de leur destin à l’écran, plus seulement des personnages passifs. (de haut en bas) Pearl BAILEY (29 Mars 1918 - 17 Août 1990, actrice-chanteuse) / Dorothy DANDRIDGE (9 Novembre 1922 - 8 Septembre 1965, actrice) / Thelma CARPENTER (15 Janvier 1922 - 14 Mai 1997, actrice-chanteuse) / Hattie MacDANIEL (10 Juin 1895 - 26 Octobre 1952, actrice) / Carmen De LAVALLADE (6 Mars 1931, actrice-danseuse) / Joyce BRYANT surnommée "The black Marilyn MONROE" (actrice-chanteuse) / Diahann CARROLL (17 Juillet 1935, actrice-chanteuse) / Jane WHITE (30 Octobre 1922 - 24 Juillet 2011, actrice). La plupart des photos sont signées Carl Van VERCHTEN, prisent dans les années 40-50.REVANCHE / Les actrices noires au cinema /  L’absence de représentation des Noirs ou alors de manière tout à fait négative (début XXème jusqu’à la fin des 1940’s).    Cette absence de représentation s’explique assez facilement, compte tenu des lois ségrégationnistes et du racisme ambiant, dans le sud des Etats-Unis notamment. Impossible dans ces conditions de choisir un Noir pour héros. Le code censure interdisait également de représenter à l’écran des relations sexuelles entre personnes de races différentes ou des scènes de violence. C’est la raison pour laquelle les premiers films ne reviennent guère sur les dures conditions d’existence des esclaves (abolition en 1865).   De la même manière, les rôles de Noirs sont joués généralement par des acteurs blancs grimés (absence d’acteurs noirs, poids des préjugés).   Néanmoins, deux grands classiques du cinéma américain évoque l’esclavage, au moins indirectement :     - « Birth of a nation » (1915) de D.W. GRIFFITH, qui s’inspire d’un livre de Thomas DIXON (The Klansman), à la gloire du Ku Klux Klan. Le réalisateur y décrit l’épouvante provoquée par un pouvoir noir qui règnerait dans le Sud depuis la fin de la guerre de Sécession. Les accusations de racisme poussent d’ailleurs GRIFFITH à réaliser « Intolérance » (1916).   - Dans « Autant en emporte le vent », le travail des esclaves dans les champs est peu montré. Le rôle s’intéresse avant tout à la nourrice de Scarlet, rôle typique de l’esclave domestique qui vénère sa maîtresse et se plie à toutes ses volontés (ce rôle vaudra l’oscar du meilleur second rôle féminin à Hattie MacDANIEL  ). Au bout du compte, les conséquences de l’esclavage ne sont pas, ou fugacement, évoquées.   Après la première guerre mondiale, la représentation des Noirs évolue quelque peu, mais ils restent cantonnés dans un très petit nombre de rôles : serviteur,  danseur, musicien. En effet, musique et danse sont les rares talents reconnus alors aux Noirs. La découverte du Jazz met ainsi à la mode le folklore noir  (« Le chanteur de Jazz » d’Alan CROSLAND).  Les rôles de  Noirs à l’écran s’avèrent très stéréotypés (syndrome de l’oncle Tom) avec des personnages souriants et irréprochables, qui acceptent toutes les injustices.   Il faut vraiment attendre la fin des années 1940 pour voir des films qui proposent des rôles positifs aux Noirs Américains (« Pinky » d’Elia KAZAN ; « L’intrus » d’après W. FAULKNER).  Sidney POITIER, premier acteur noir vraiment reconnu à Hollywood  incarne ainsi un médecin brillant ("No way out" de MANKIEWICZ en 1950), un officier de police surdoué dans « la chaleur de la nuit » de Norman JEWISON (1968), un brillant chimiste dans « Devine qui vient dîner ? » de Stanley KRAMER (1967). Il campe des personnages bien sous tous rapports, présentables, issus de la classe moyenne mais davantage tolérés qu’acceptés par la société blanche dans laquelle ils évoluent.    Au fond, il incarne l’idéal intégrationniste. Les films dans lesquels apparaissait Sidney POITIER laissaient entendre qu’il était possible pour les Noirs d’être acceptés dans la société américaine. La réalité était pourtant différente pour beaucoup ( émeutes raciales qui secouent les Etats-Unis, appel des Black Panthers à passer à l’action militante).     Ne pouvant traiter ouvertement du racisme dans le film qu’il voulait faire, George ROMERO  utilise le cinéma de genre (l’horreur) pour traiter du racisme, en évitant ainsi  la censure directe. Dans "La Nuit des morts-vivants" (1968), il stigmatise les travers individualistes de la société états-unienne et de ses valeurs familiales, et s’attaque au racisme qui la gangrène : une petite fille achève sa mère adorée à coups de truelle, un frère devenu zombie revient dévorer sa s½ur, pendant qu’à l’extérieur, les humains se regroupent en milices fascistes et finissent par tuer le seul personnage positif du film, ayant survécu aux zombies, mais qui a le malheur d’être noir… (cf. Rouge n° 2124).   A parti de 1971, la naissance de la Blaxploitation (contraction des mots « black » et « exploitation ») constitue la première offensive cinématographique noire contre la représentation traditionnelle et dévalorisante des Noirs à l’écran. Des films plus en phase en tout cas avec l’existence des Afro-américains, notamment dans les ghettos. Pour la première fois, ils deviennent acteurs de leur destin à l’écran, plus seulement des personnages passifs. (de haut en bas) Pearl BAILEY (29 Mars 1918 - 17 Août 1990, actrice-chanteuse) / Dorothy DANDRIDGE (9 Novembre 1922 - 8 Septembre 1965, actrice) / Thelma CARPENTER (15 Janvier 1922 - 14 Mai 1997, actrice-chanteuse) / Hattie MacDANIEL (10 Juin 1895 - 26 Octobre 1952, actrice) / Carmen De LAVALLADE (6 Mars 1931, actrice-danseuse) / Joyce BRYANT surnommée "The black Marilyn MONROE" (actrice-chanteuse) / Diahann CARROLL (17 Juillet 1935, actrice-chanteuse) / Jane WHITE (30 Octobre 1922 - 24 Juillet 2011, actrice). La plupart des photos sont signées Carl Van VERCHTEN, prisent dans les années 40-50.
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#Posté le vendredi 23 novembre 2012 04:36

RARE / Une journée à la campagne avec... Dorothy DANDRIDGE

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