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I-LOVE-VINTAGE-ACTRESSES

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Création : 06/05/2012 à 06:10 Mise à jour : 13/12/2018 à 14:33

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MINI-BIO / Corinne CALVET / Corinne CALVET, la dernière Française de Hollywood (après Claudette COLBERT et Capucine), était sans doute plus célèbre pour ses sorties et ses chicanes que pour ses capacités dramatiques. Plaideuse notoire (elle avait fait son droit à la Sorbonne), elle assigna Zsa Zsa GABOR pour avoir prétendu qu'elle n'était pas française. Et quand, sur le tournage de la "Polka des marins", le producteur Hal WALLIS l'accusa de porter des faux seins, elle lui mit illico la main sous sa robe, sous le regard incrédule de Dean MARTIN. C'était son second film avec Dean et LEWIS. Deux ans auparavant, elle était apparue dans "Irma à Hollywood", où elle jouait moins avec le duo comique qu'avec Pierre, chimpanzé sexuellement affolé parce que l'actrice avait ses règles - elle relate cet épisode dans ses mémoires salés : "Has Corinne Been a Good Girl ?" (1983). «Sex-pot». Corinne CALVET est morte d'hémorragie cérébrale. Elle résidait depuis longtemps à Santa Monica et n'avait plus tourné depuis plus longtemps encore. Sa mère, chimiste, était l'inventeur du Pyrex. Née Corinne DIBOS en 1925, Corinne tourna quelques films français (DELANNOY, ALLEGRET), avant d'être prise sous contrat par Hal WALLIS. Elle fit ses débuts en 1949 dans "La Corde de sable", de DIETERLE, avec Burt LANCASTER. Ce curieux "Casablanca" sud-africain, si artificiel fût-il, était encore à cent coudées au-dessus de ce qui suivit. Même si John FORD l'a fait jouer dans deux films ("Planqué malgré lui" et son remake de "What Price, Glory ?"), Corinne ne réussit jamais à s'imposer comme sex-pot, à l'écran du moins. Elle faisait surtout partie du harem de WALLIS. Le principe de ce célèbre esclavagiste était simple: il prêtait à ses starlettes pour qu'elles s'achètent des maisons et elles devaient faire ce qu'il voulait. Assez piquante au physique, Corinne CALVET pouvait être exaspérante. On se la rappelle dans le western d'Anthony MANN "Je suis un aventurier" (1954), où elle joue la zozotante Renée VALLON. Dans les années 70, elle a abandonné son métier pour devenir psychothérapeute.

MINI-BIO / Corinne CALVET /  Corinne CALVET, la dernière Française de Hollywood (après Claudette COLBERT et Capucine), était sans doute plus célèbre pour ses sorties et ses chicanes que pour ses capacités dramatiques. Plaideuse notoire (elle avait fait son droit à la Sorbonne), elle assigna Zsa Zsa GABOR pour avoir prétendu qu'elle n'était pas française. Et quand, sur le tournage de la "Polka des marins", le producteur Hal WALLIS l'accusa de porter des faux seins, elle lui mit illico la main sous sa robe, sous le regard incrédule de Dean MARTIN.  C'était son second film avec Dean et LEWIS. Deux ans auparavant, elle était apparue dans "Irma à Hollywood", où elle jouait moins avec le duo comique qu'avec Pierre, chimpanzé sexuellement affolé parce que l'actrice avait ses règles - elle relate cet épisode dans ses mémoires salés : "Has Corinne Been a Good Girl ?" (1983).  «Sex-pot». Corinne CALVET est morte d'hémorragie cérébrale. Elle résidait depuis longtemps à Santa Monica et n'avait plus tourné depuis plus longtemps encore. Sa mère, chimiste, était l'inventeur du Pyrex.  Née Corinne DIBOS en 1925, Corinne tourna quelques films français (DELANNOY, ALLEGRET), avant d'être prise sous contrat par Hal WALLIS. Elle fit ses débuts en 1949 dans "La Corde de sable", de DIETERLE, avec Burt LANCASTER. Ce curieux "Casablanca" sud-africain, si artificiel fût-il, était encore à cent coudées au-dessus de ce qui suivit. Même si John FORD l'a fait jouer dans deux films ("Planqué malgré lui" et son remake de "What Price, Glory ?"), Corinne ne réussit jamais à s'imposer comme sex-pot, à l'écran du moins.  Elle faisait surtout partie du harem de WALLIS. Le principe de ce célèbre esclavagiste était simple: il prêtait à ses starlettes pour qu'elles s'achètent des maisons et elles devaient faire ce qu'il voulait. Assez piquante au physique, Corinne CALVET pouvait être exaspérante. On se la rappelle dans le western d'Anthony MANN "Je suis un aventurier" (1954), où elle joue la zozotante Renée VALLON. Dans les années 70, elle a abandonné son métier pour devenir psychothérapeute.MINI-BIO / Corinne CALVET /  Corinne CALVET, la dernière Française de Hollywood (après Claudette COLBERT et Capucine), était sans doute plus célèbre pour ses sorties et ses chicanes que pour ses capacités dramatiques. Plaideuse notoire (elle avait fait son droit à la Sorbonne), elle assigna Zsa Zsa GABOR pour avoir prétendu qu'elle n'était pas française. Et quand, sur le tournage de la "Polka des marins", le producteur Hal WALLIS l'accusa de porter des faux seins, elle lui mit illico la main sous sa robe, sous le regard incrédule de Dean MARTIN.  C'était son second film avec Dean et LEWIS. Deux ans auparavant, elle était apparue dans "Irma à Hollywood", où elle jouait moins avec le duo comique qu'avec Pierre, chimpanzé sexuellement affolé parce que l'actrice avait ses règles - elle relate cet épisode dans ses mémoires salés : "Has Corinne Been a Good Girl ?" (1983).  «Sex-pot». Corinne CALVET est morte d'hémorragie cérébrale. Elle résidait depuis longtemps à Santa Monica et n'avait plus tourné depuis plus longtemps encore. Sa mère, chimiste, était l'inventeur du Pyrex.  Née Corinne DIBOS en 1925, Corinne tourna quelques films français (DELANNOY, ALLEGRET), avant d'être prise sous contrat par Hal WALLIS. Elle fit ses débuts en 1949 dans "La Corde de sable", de DIETERLE, avec Burt LANCASTER. Ce curieux "Casablanca" sud-africain, si artificiel fût-il, était encore à cent coudées au-dessus de ce qui suivit. Même si John FORD l'a fait jouer dans deux films ("Planqué malgré lui" et son remake de "What Price, Glory ?"), Corinne ne réussit jamais à s'imposer comme sex-pot, à l'écran du moins.  Elle faisait surtout partie du harem de WALLIS. Le principe de ce célèbre esclavagiste était simple: il prêtait à ses starlettes pour qu'elles s'achètent des maisons et elles devaient faire ce qu'il voulait. Assez piquante au physique, Corinne CALVET pouvait être exaspérante. On se la rappelle dans le western d'Anthony MANN "Je suis un aventurier" (1954), où elle joue la zozotante Renée VALLON. Dans les années 70, elle a abandonné son métier pour devenir psychothérapeute.MINI-BIO / Corinne CALVET /  Corinne CALVET, la dernière Française de Hollywood (après Claudette COLBERT et Capucine), était sans doute plus célèbre pour ses sorties et ses chicanes que pour ses capacités dramatiques. Plaideuse notoire (elle avait fait son droit à la Sorbonne), elle assigna Zsa Zsa GABOR pour avoir prétendu qu'elle n'était pas française. Et quand, sur le tournage de la "Polka des marins", le producteur Hal WALLIS l'accusa de porter des faux seins, elle lui mit illico la main sous sa robe, sous le regard incrédule de Dean MARTIN.  C'était son second film avec Dean et LEWIS. Deux ans auparavant, elle était apparue dans "Irma à Hollywood", où elle jouait moins avec le duo comique qu'avec Pierre, chimpanzé sexuellement affolé parce que l'actrice avait ses règles - elle relate cet épisode dans ses mémoires salés : "Has Corinne Been a Good Girl ?" (1983).  «Sex-pot». Corinne CALVET est morte d'hémorragie cérébrale. Elle résidait depuis longtemps à Santa Monica et n'avait plus tourné depuis plus longtemps encore. Sa mère, chimiste, était l'inventeur du Pyrex.  Née Corinne DIBOS en 1925, Corinne tourna quelques films français (DELANNOY, ALLEGRET), avant d'être prise sous contrat par Hal WALLIS. Elle fit ses débuts en 1949 dans "La Corde de sable", de DIETERLE, avec Burt LANCASTER. Ce curieux "Casablanca" sud-africain, si artificiel fût-il, était encore à cent coudées au-dessus de ce qui suivit. Même si John FORD l'a fait jouer dans deux films ("Planqué malgré lui" et son remake de "What Price, Glory ?"), Corinne ne réussit jamais à s'imposer comme sex-pot, à l'écran du moins.  Elle faisait surtout partie du harem de WALLIS. Le principe de ce célèbre esclavagiste était simple: il prêtait à ses starlettes pour qu'elles s'achètent des maisons et elles devaient faire ce qu'il voulait. Assez piquante au physique, Corinne CALVET pouvait être exaspérante. On se la rappelle dans le western d'Anthony MANN "Je suis un aventurier" (1954), où elle joue la zozotante Renée VALLON. Dans les années 70, elle a abandonné son métier pour devenir psychothérapeute.MINI-BIO / Corinne CALVET /  Corinne CALVET, la dernière Française de Hollywood (après Claudette COLBERT et Capucine), était sans doute plus célèbre pour ses sorties et ses chicanes que pour ses capacités dramatiques. Plaideuse notoire (elle avait fait son droit à la Sorbonne), elle assigna Zsa Zsa GABOR pour avoir prétendu qu'elle n'était pas française. Et quand, sur le tournage de la "Polka des marins", le producteur Hal WALLIS l'accusa de porter des faux seins, elle lui mit illico la main sous sa robe, sous le regard incrédule de Dean MARTIN.  C'était son second film avec Dean et LEWIS. Deux ans auparavant, elle était apparue dans "Irma à Hollywood", où elle jouait moins avec le duo comique qu'avec Pierre, chimpanzé sexuellement affolé parce que l'actrice avait ses règles - elle relate cet épisode dans ses mémoires salés : "Has Corinne Been a Good Girl ?" (1983).  «Sex-pot». Corinne CALVET est morte d'hémorragie cérébrale. Elle résidait depuis longtemps à Santa Monica et n'avait plus tourné depuis plus longtemps encore. Sa mère, chimiste, était l'inventeur du Pyrex.  Née Corinne DIBOS en 1925, Corinne tourna quelques films français (DELANNOY, ALLEGRET), avant d'être prise sous contrat par Hal WALLIS. Elle fit ses débuts en 1949 dans "La Corde de sable", de DIETERLE, avec Burt LANCASTER. Ce curieux "Casablanca" sud-africain, si artificiel fût-il, était encore à cent coudées au-dessus de ce qui suivit. Même si John FORD l'a fait jouer dans deux films ("Planqué malgré lui" et son remake de "What Price, Glory ?"), Corinne ne réussit jamais à s'imposer comme sex-pot, à l'écran du moins.  Elle faisait surtout partie du harem de WALLIS. Le principe de ce célèbre esclavagiste était simple: il prêtait à ses starlettes pour qu'elles s'achètent des maisons et elles devaient faire ce qu'il voulait. Assez piquante au physique, Corinne CALVET pouvait être exaspérante. On se la rappelle dans le western d'Anthony MANN "Je suis un aventurier" (1954), où elle joue la zozotante Renée VALLON. Dans les années 70, elle a abandonné son métier pour devenir psychothérapeute.MINI-BIO / Corinne CALVET /  Corinne CALVET, la dernière Française de Hollywood (après Claudette COLBERT et Capucine), était sans doute plus célèbre pour ses sorties et ses chicanes que pour ses capacités dramatiques. Plaideuse notoire (elle avait fait son droit à la Sorbonne), elle assigna Zsa Zsa GABOR pour avoir prétendu qu'elle n'était pas française. Et quand, sur le tournage de la "Polka des marins", le producteur Hal WALLIS l'accusa de porter des faux seins, elle lui mit illico la main sous sa robe, sous le regard incrédule de Dean MARTIN.  C'était son second film avec Dean et LEWIS. Deux ans auparavant, elle était apparue dans "Irma à Hollywood", où elle jouait moins avec le duo comique qu'avec Pierre, chimpanzé sexuellement affolé parce que l'actrice avait ses règles - elle relate cet épisode dans ses mémoires salés : "Has Corinne Been a Good Girl ?" (1983).  «Sex-pot». Corinne CALVET est morte d'hémorragie cérébrale. Elle résidait depuis longtemps à Santa Monica et n'avait plus tourné depuis plus longtemps encore. Sa mère, chimiste, était l'inventeur du Pyrex.  Née Corinne DIBOS en 1925, Corinne tourna quelques films français (DELANNOY, ALLEGRET), avant d'être prise sous contrat par Hal WALLIS. Elle fit ses débuts en 1949 dans "La Corde de sable", de DIETERLE, avec Burt LANCASTER. Ce curieux "Casablanca" sud-africain, si artificiel fût-il, était encore à cent coudées au-dessus de ce qui suivit. Même si John FORD l'a fait jouer dans deux films ("Planqué malgré lui" et son remake de "What Price, Glory ?"), Corinne ne réussit jamais à s'imposer comme sex-pot, à l'écran du moins.  Elle faisait surtout partie du harem de WALLIS. Le principe de ce célèbre esclavagiste était simple: il prêtait à ses starlettes pour qu'elles s'achètent des maisons et elles devaient faire ce qu'il voulait. Assez piquante au physique, Corinne CALVET pouvait être exaspérante. On se la rappelle dans le western d'Anthony MANN "Je suis un aventurier" (1954), où elle joue la zozotante Renée VALLON. Dans les années 70, elle a abandonné son métier pour devenir psychothérapeute.MINI-BIO / Corinne CALVET /  Corinne CALVET, la dernière Française de Hollywood (après Claudette COLBERT et Capucine), était sans doute plus célèbre pour ses sorties et ses chicanes que pour ses capacités dramatiques. Plaideuse notoire (elle avait fait son droit à la Sorbonne), elle assigna Zsa Zsa GABOR pour avoir prétendu qu'elle n'était pas française. Et quand, sur le tournage de la "Polka des marins", le producteur Hal WALLIS l'accusa de porter des faux seins, elle lui mit illico la main sous sa robe, sous le regard incrédule de Dean MARTIN.  C'était son second film avec Dean et LEWIS. Deux ans auparavant, elle était apparue dans "Irma à Hollywood", où elle jouait moins avec le duo comique qu'avec Pierre, chimpanzé sexuellement affolé parce que l'actrice avait ses règles - elle relate cet épisode dans ses mémoires salés : "Has Corinne Been a Good Girl ?" (1983).  «Sex-pot». Corinne CALVET est morte d'hémorragie cérébrale. Elle résidait depuis longtemps à Santa Monica et n'avait plus tourné depuis plus longtemps encore. Sa mère, chimiste, était l'inventeur du Pyrex.  Née Corinne DIBOS en 1925, Corinne tourna quelques films français (DELANNOY, ALLEGRET), avant d'être prise sous contrat par Hal WALLIS. Elle fit ses débuts en 1949 dans "La Corde de sable", de DIETERLE, avec Burt LANCASTER. Ce curieux "Casablanca" sud-africain, si artificiel fût-il, était encore à cent coudées au-dessus de ce qui suivit. Même si John FORD l'a fait jouer dans deux films ("Planqué malgré lui" et son remake de "What Price, Glory ?"), Corinne ne réussit jamais à s'imposer comme sex-pot, à l'écran du moins.  Elle faisait surtout partie du harem de WALLIS. Le principe de ce célèbre esclavagiste était simple: il prêtait à ses starlettes pour qu'elles s'achètent des maisons et elles devaient faire ce qu'il voulait. Assez piquante au physique, Corinne CALVET pouvait être exaspérante. On se la rappelle dans le western d'Anthony MANN "Je suis un aventurier" (1954), où elle joue la zozotante Renée VALLON. Dans les années 70, elle a abandonné son métier pour devenir psychothérapeute.MINI-BIO / Corinne CALVET /  Corinne CALVET, la dernière Française de Hollywood (après Claudette COLBERT et Capucine), était sans doute plus célèbre pour ses sorties et ses chicanes que pour ses capacités dramatiques. Plaideuse notoire (elle avait fait son droit à la Sorbonne), elle assigna Zsa Zsa GABOR pour avoir prétendu qu'elle n'était pas française. Et quand, sur le tournage de la "Polka des marins", le producteur Hal WALLIS l'accusa de porter des faux seins, elle lui mit illico la main sous sa robe, sous le regard incrédule de Dean MARTIN.  C'était son second film avec Dean et LEWIS. Deux ans auparavant, elle était apparue dans "Irma à Hollywood", où elle jouait moins avec le duo comique qu'avec Pierre, chimpanzé sexuellement affolé parce que l'actrice avait ses règles - elle relate cet épisode dans ses mémoires salés : "Has Corinne Been a Good Girl ?" (1983).  «Sex-pot». Corinne CALVET est morte d'hémorragie cérébrale. Elle résidait depuis longtemps à Santa Monica et n'avait plus tourné depuis plus longtemps encore. Sa mère, chimiste, était l'inventeur du Pyrex.  Née Corinne DIBOS en 1925, Corinne tourna quelques films français (DELANNOY, ALLEGRET), avant d'être prise sous contrat par Hal WALLIS. Elle fit ses débuts en 1949 dans "La Corde de sable", de DIETERLE, avec Burt LANCASTER. Ce curieux "Casablanca" sud-africain, si artificiel fût-il, était encore à cent coudées au-dessus de ce qui suivit. Même si John FORD l'a fait jouer dans deux films ("Planqué malgré lui" et son remake de "What Price, Glory ?"), Corinne ne réussit jamais à s'imposer comme sex-pot, à l'écran du moins.  Elle faisait surtout partie du harem de WALLIS. Le principe de ce célèbre esclavagiste était simple: il prêtait à ses starlettes pour qu'elles s'achètent des maisons et elles devaient faire ce qu'il voulait. Assez piquante au physique, Corinne CALVET pouvait être exaspérante. On se la rappelle dans le western d'Anthony MANN "Je suis un aventurier" (1954), où elle joue la zozotante Renée VALLON. Dans les années 70, elle a abandonné son métier pour devenir psychothérapeute.MINI-BIO / Corinne CALVET /  Corinne CALVET, la dernière Française de Hollywood (après Claudette COLBERT et Capucine), était sans doute plus célèbre pour ses sorties et ses chicanes que pour ses capacités dramatiques. Plaideuse notoire (elle avait fait son droit à la Sorbonne), elle assigna Zsa Zsa GABOR pour avoir prétendu qu'elle n'était pas française. Et quand, sur le tournage de la "Polka des marins", le producteur Hal WALLIS l'accusa de porter des faux seins, elle lui mit illico la main sous sa robe, sous le regard incrédule de Dean MARTIN.  C'était son second film avec Dean et LEWIS. Deux ans auparavant, elle était apparue dans "Irma à Hollywood", où elle jouait moins avec le duo comique qu'avec Pierre, chimpanzé sexuellement affolé parce que l'actrice avait ses règles - elle relate cet épisode dans ses mémoires salés : "Has Corinne Been a Good Girl ?" (1983).  «Sex-pot». Corinne CALVET est morte d'hémorragie cérébrale. Elle résidait depuis longtemps à Santa Monica et n'avait plus tourné depuis plus longtemps encore. Sa mère, chimiste, était l'inventeur du Pyrex.  Née Corinne DIBOS en 1925, Corinne tourna quelques films français (DELANNOY, ALLEGRET), avant d'être prise sous contrat par Hal WALLIS. Elle fit ses débuts en 1949 dans "La Corde de sable", de DIETERLE, avec Burt LANCASTER. Ce curieux "Casablanca" sud-africain, si artificiel fût-il, était encore à cent coudées au-dessus de ce qui suivit. Même si John FORD l'a fait jouer dans deux films ("Planqué malgré lui" et son remake de "What Price, Glory ?"), Corinne ne réussit jamais à s'imposer comme sex-pot, à l'écran du moins.  Elle faisait surtout partie du harem de WALLIS. Le principe de ce célèbre esclavagiste était simple: il prêtait à ses starlettes pour qu'elles s'achètent des maisons et elles devaient faire ce qu'il voulait. Assez piquante au physique, Corinne CALVET pouvait être exaspérante. On se la rappelle dans le western d'Anthony MANN "Je suis un aventurier" (1954), où elle joue la zozotante Renée VALLON. Dans les années 70, elle a abandonné son métier pour devenir psychothérapeute.
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#Posté le vendredi 08 mars 2013 04:06

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