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I-LOVE-VINTAGE-ACTRESSES

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Création : 06/05/2012 à 06:10 Mise à jour : 13/12/2018 à 14:33

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Autour de Rita / Comment l'érotisme arrogant de Rita n'a-t-il pas provoqué les censeurs ? En plus des postures de Rita, de son corps dévoilé, il y a les dialogues truffés d'évidentes allusions sexuelles. Car les garants de l'ordre moral avaient l'oeil à tout ; Gene KELLY raconte comment son duo avec Cyd CHARISSE dans "Chantons sous la pluie" fut tronqué : " Nous avons dû faire un certain nombre de coupures au moment où elle m'entoure de ses jambes, ce que font régulièrement les danseurs sur scène. Les censeurs au cinéma étaient toujours très actifs et dirent simplement : "Ne pas lui permettre d'enrouler ses jambes au niveau de votre taille." Quelques années plus tôt, ils n'avaient pu laisser passer "Le Banni". L'histoire de Billy the Kid et Doc Holliday couchant avec la même femme pouvait, il est vrai, apparaître comme très amorale. Et puis le producteur, Howard Hughes, n'avait renoncé à aucune provocation : selon la publicité du film, la poitrine atomique de la débutante Jane RUSSELL " constituait deux bonnes raisons d'aller voir le film "... Tourné en 1943, il ne fut vraiment exploité qu'en 1950. Alors pourquoi tant de complaisance à l'égard de Rita HAYWORTH ? Sa popularité dans les rangs des G.I.'s y fut sans doute pour quelque chose. L'influence du nabab Harry COHN, patron de la Columbia, dut également être déterminante. Harry COHN était le découvreur de Rita, qu'il poursuivait de ses ardeurs (sans succès, paraît-il). Obsédé par Rita au point de faire poser des micros dans sa loge pour qu'aucun aspect de sa vie ne lui échappe... " Elle est trop belle pour rester seule ", avait prévenu Ballin MUNDSON (son mari) au début de "Gilda". La femme est le passé de l'homme. Avant tout, il y eut Louise BROOLS et Marlène DIETRICH. Loulou et Lola-Lola ("L'Ange Bleu") préparent l'éclosion des femmes fatales des années 40. Prédatrices, mantes religieuses, elles asservissent l'homme, le dupent. Dans leurs bras, il n'est plus qu'un pantin. Tandis que Loulou, femme libérée avant l'heure, multiplie les conquêtes, Lola- Lola torture le malheureux professeur Rath qui, subjugué, a eu le tort de l'épouser. Rita HAYWORTH construit son personnage sur cet héritage fertile. Peut-être moins mêlée au crime que Lana TURNER ou Barbara STANWYCK, elle est sans conteste une vamp : une femme calculatrice et mystérieuse, qui joue de sa séduction, " mi-dévoreuse, mi-dévorée, désinvolte et traquée (...), dure à l'égard du milieu qui l'entoure, aussi experte dans le chantage et le vice que dans les armes à feu. " Contrairement à GARBO et à TIERNEY, elle n'est pas une créature inaccessible. Elle est un corps brûlant de sensualité. Mais un corps qui laisse des souvenirs douloureux. Geoff CARTER (Cary GRANT dans "Seuls les Anges ont des ailes") et Johnny FARRELL (Glenn FORD dans "Gilda") en savent quelque chose. Ils retrouvent tous deux leur " ex " sur leur chemin au moment où ils s'y attendent le moins. Et ça ne leur fait pas plaisir. CARTER comme FARRELL sont devenus d'affreux misogynes. " Avec lui les femmes se brûlent les doigts " prévient Thomas MITCHELL en parlant de CARTER. " Le nombre de femmes au monde n'est dépassé que par celui des insectes ", lui répond Glenn FORD dans "Gilda"...[...] "Gilda"...Dans sa vie, Rita HAYWORTH a payé le prix de ce rôle : il est dangereux d'incarner un fantasme aussi puissant. Entre la pin-up et la femme fatale, elle incarna une beauté absolue, sulfureuse, provocante, inoubliable, un érotisme sophistiqué et un style unique qui la différencia des autres et en fit la femme fatale par excellence.

Autour de Rita / Comment l'érotisme arrogant de Rita n'a-t-il pas provoqué les censeurs ? En plus des postures de Rita, de son corps dévoilé, il y a les dialogues truffés d'évidentes allusions sexuelles. Car les garants de l'ordre moral avaient l'oeil à tout ; Gene KELLY raconte comment son duo avec Cyd CHARISSE dans "Chantons sous la pluie" fut tronqué : " Nous avons dû faire un certain nombre de coupures au moment où elle m'entoure de ses jambes, ce que font régulièrement les danseurs sur scène. Les censeurs au cinéma étaient toujours très actifs et dirent simplement : "Ne pas lui permettre d'enrouler ses jambes au niveau de votre taille." Quelques années plus tôt, ils n'avaient pu laisser passer "Le Banni". L'histoire de Billy the Kid et Doc Holliday couchant avec la même femme pouvait, il est vrai, apparaître comme très amorale. Et puis le producteur, Howard Hughes, n'avait renoncé à aucune provocation : selon la publicité du film, la poitrine atomique de la débutante Jane RUSSELL " constituait deux bonnes raisons d'aller voir le film "… Tourné en 1943, il ne fut vraiment exploité qu'en 1950. Alors pourquoi tant de complaisance à l'égard de Rita HAYWORTH ? Sa popularité dans les rangs des G.I.'s y fut sans doute pour quelque chose. L'influence du nabab Harry COHN, patron de la Columbia, dut également être déterminante. Harry COHN était le découvreur de Rita, qu'il poursuivait de ses ardeurs (sans succès, paraît-il). Obsédé par Rita au point de faire poser des micros dans sa loge pour qu'aucun aspect de sa vie ne lui échappe… " Elle est trop belle pour rester seule ", avait prévenu Ballin MUNDSON (son mari) au début de "Gilda". La femme est le passé de l'homme. Avant tout, il y eut Louise BROOLS et Marlène DIETRICH. Loulou et Lola-Lola ("L'Ange Bleu") préparent l'éclosion des femmes fatales des années 40. Prédatrices, mantes religieuses, elles asservissent l'homme, le dupent. Dans leurs bras, il n'est plus qu'un pantin. Tandis que Loulou, femme libérée avant l'heure, multiplie les conquêtes, Lola- Lola torture le malheureux professeur Rath qui, subjugué, a eu le tort de l'épouser.  Rita HAYWORTH construit son personnage sur cet héritage fertile. Peut-être moins mêlée au crime que Lana TURNER ou Barbara STANWYCK, elle est sans conteste une vamp : une femme calculatrice et mystérieuse, qui joue de sa séduction, " mi-dévoreuse, mi-dévorée, désinvolte et traquée (…), dure à l'égard du milieu qui l'entoure, aussi experte dans le chantage et le vice que dans les armes à feu. " Contrairement à GARBO et à TIERNEY, elle n'est pas une créature inaccessible. Elle est un corps brûlant de sensualité. Mais un corps qui laisse des souvenirs douloureux. Geoff CARTER (Cary GRANT dans "Seuls les Anges ont des ailes") et Johnny FARRELL (Glenn FORD dans "Gilda") en savent quelque chose. Ils retrouvent tous deux leur " ex " sur leur chemin au moment où ils s'y attendent le moins. Et ça ne leur fait pas plaisir. CARTER comme FARRELL sont devenus d'affreux misogynes. " Avec lui les femmes se brûlent les doigts " prévient Thomas MITCHELL en parlant de CARTER. " Le nombre de femmes au monde n'est dépassé que par celui des insectes ", lui répond Glenn FORD dans "Gilda"...[...]  "Gilda"...Dans sa vie, Rita HAYWORTH a payé le prix de ce rôle : il est dangereux d'incarner un fantasme aussi puissant. Entre la pin-up et la femme fatale, elle incarna une beauté absolue, sulfureuse, provocante, inoubliable, un érotisme sophistiqué et un style unique qui la différencia des autres et en fit la femme fatale par excellence.  Autour de Rita / Comment l'érotisme arrogant de Rita n'a-t-il pas provoqué les censeurs ? En plus des postures de Rita, de son corps dévoilé, il y a les dialogues truffés d'évidentes allusions sexuelles. Car les garants de l'ordre moral avaient l'oeil à tout ; Gene KELLY raconte comment son duo avec Cyd CHARISSE dans "Chantons sous la pluie" fut tronqué : " Nous avons dû faire un certain nombre de coupures au moment où elle m'entoure de ses jambes, ce que font régulièrement les danseurs sur scène. Les censeurs au cinéma étaient toujours très actifs et dirent simplement : "Ne pas lui permettre d'enrouler ses jambes au niveau de votre taille." Quelques années plus tôt, ils n'avaient pu laisser passer "Le Banni". L'histoire de Billy the Kid et Doc Holliday couchant avec la même femme pouvait, il est vrai, apparaître comme très amorale. Et puis le producteur, Howard Hughes, n'avait renoncé à aucune provocation : selon la publicité du film, la poitrine atomique de la débutante Jane RUSSELL " constituait deux bonnes raisons d'aller voir le film "… Tourné en 1943, il ne fut vraiment exploité qu'en 1950. Alors pourquoi tant de complaisance à l'égard de Rita HAYWORTH ? Sa popularité dans les rangs des G.I.'s y fut sans doute pour quelque chose. L'influence du nabab Harry COHN, patron de la Columbia, dut également être déterminante. Harry COHN était le découvreur de Rita, qu'il poursuivait de ses ardeurs (sans succès, paraît-il). Obsédé par Rita au point de faire poser des micros dans sa loge pour qu'aucun aspect de sa vie ne lui échappe… " Elle est trop belle pour rester seule ", avait prévenu Ballin MUNDSON (son mari) au début de "Gilda". La femme est le passé de l'homme. Avant tout, il y eut Louise BROOLS et Marlène DIETRICH. Loulou et Lola-Lola ("L'Ange Bleu") préparent l'éclosion des femmes fatales des années 40. Prédatrices, mantes religieuses, elles asservissent l'homme, le dupent. Dans leurs bras, il n'est plus qu'un pantin. Tandis que Loulou, femme libérée avant l'heure, multiplie les conquêtes, Lola- Lola torture le malheureux professeur Rath qui, subjugué, a eu le tort de l'épouser.  Rita HAYWORTH construit son personnage sur cet héritage fertile. Peut-être moins mêlée au crime que Lana TURNER ou Barbara STANWYCK, elle est sans conteste une vamp : une femme calculatrice et mystérieuse, qui joue de sa séduction, " mi-dévoreuse, mi-dévorée, désinvolte et traquée (…), dure à l'égard du milieu qui l'entoure, aussi experte dans le chantage et le vice que dans les armes à feu. " Contrairement à GARBO et à TIERNEY, elle n'est pas une créature inaccessible. Elle est un corps brûlant de sensualité. Mais un corps qui laisse des souvenirs douloureux. Geoff CARTER (Cary GRANT dans "Seuls les Anges ont des ailes") et Johnny FARRELL (Glenn FORD dans "Gilda") en savent quelque chose. Ils retrouvent tous deux leur " ex " sur leur chemin au moment où ils s'y attendent le moins. Et ça ne leur fait pas plaisir. CARTER comme FARRELL sont devenus d'affreux misogynes. " Avec lui les femmes se brûlent les doigts " prévient Thomas MITCHELL en parlant de CARTER. " Le nombre de femmes au monde n'est dépassé que par celui des insectes ", lui répond Glenn FORD dans "Gilda"...[...]  "Gilda"...Dans sa vie, Rita HAYWORTH a payé le prix de ce rôle : il est dangereux d'incarner un fantasme aussi puissant. Entre la pin-up et la femme fatale, elle incarna une beauté absolue, sulfureuse, provocante, inoubliable, un érotisme sophistiqué et un style unique qui la différencia des autres et en fit la femme fatale par excellence.  Autour de Rita / Comment l'érotisme arrogant de Rita n'a-t-il pas provoqué les censeurs ? En plus des postures de Rita, de son corps dévoilé, il y a les dialogues truffés d'évidentes allusions sexuelles. Car les garants de l'ordre moral avaient l'oeil à tout ; Gene KELLY raconte comment son duo avec Cyd CHARISSE dans "Chantons sous la pluie" fut tronqué : " Nous avons dû faire un certain nombre de coupures au moment où elle m'entoure de ses jambes, ce que font régulièrement les danseurs sur scène. Les censeurs au cinéma étaient toujours très actifs et dirent simplement : "Ne pas lui permettre d'enrouler ses jambes au niveau de votre taille." Quelques années plus tôt, ils n'avaient pu laisser passer "Le Banni". L'histoire de Billy the Kid et Doc Holliday couchant avec la même femme pouvait, il est vrai, apparaître comme très amorale. Et puis le producteur, Howard Hughes, n'avait renoncé à aucune provocation : selon la publicité du film, la poitrine atomique de la débutante Jane RUSSELL " constituait deux bonnes raisons d'aller voir le film "… Tourné en 1943, il ne fut vraiment exploité qu'en 1950. Alors pourquoi tant de complaisance à l'égard de Rita HAYWORTH ? Sa popularité dans les rangs des G.I.'s y fut sans doute pour quelque chose. L'influence du nabab Harry COHN, patron de la Columbia, dut également être déterminante. Harry COHN était le découvreur de Rita, qu'il poursuivait de ses ardeurs (sans succès, paraît-il). Obsédé par Rita au point de faire poser des micros dans sa loge pour qu'aucun aspect de sa vie ne lui échappe… " Elle est trop belle pour rester seule ", avait prévenu Ballin MUNDSON (son mari) au début de "Gilda". La femme est le passé de l'homme. Avant tout, il y eut Louise BROOLS et Marlène DIETRICH. Loulou et Lola-Lola ("L'Ange Bleu") préparent l'éclosion des femmes fatales des années 40. Prédatrices, mantes religieuses, elles asservissent l'homme, le dupent. Dans leurs bras, il n'est plus qu'un pantin. Tandis que Loulou, femme libérée avant l'heure, multiplie les conquêtes, Lola- Lola torture le malheureux professeur Rath qui, subjugué, a eu le tort de l'épouser.  Rita HAYWORTH construit son personnage sur cet héritage fertile. Peut-être moins mêlée au crime que Lana TURNER ou Barbara STANWYCK, elle est sans conteste une vamp : une femme calculatrice et mystérieuse, qui joue de sa séduction, " mi-dévoreuse, mi-dévorée, désinvolte et traquée (…), dure à l'égard du milieu qui l'entoure, aussi experte dans le chantage et le vice que dans les armes à feu. " Contrairement à GARBO et à TIERNEY, elle n'est pas une créature inaccessible. Elle est un corps brûlant de sensualité. Mais un corps qui laisse des souvenirs douloureux. Geoff CARTER (Cary GRANT dans "Seuls les Anges ont des ailes") et Johnny FARRELL (Glenn FORD dans "Gilda") en savent quelque chose. Ils retrouvent tous deux leur " ex " sur leur chemin au moment où ils s'y attendent le moins. Et ça ne leur fait pas plaisir. CARTER comme FARRELL sont devenus d'affreux misogynes. " Avec lui les femmes se brûlent les doigts " prévient Thomas MITCHELL en parlant de CARTER. " Le nombre de femmes au monde n'est dépassé que par celui des insectes ", lui répond Glenn FORD dans "Gilda"...[...]  "Gilda"...Dans sa vie, Rita HAYWORTH a payé le prix de ce rôle : il est dangereux d'incarner un fantasme aussi puissant. Entre la pin-up et la femme fatale, elle incarna une beauté absolue, sulfureuse, provocante, inoubliable, un érotisme sophistiqué et un style unique qui la différencia des autres et en fit la femme fatale par excellence.  Autour de Rita / Comment l'érotisme arrogant de Rita n'a-t-il pas provoqué les censeurs ? En plus des postures de Rita, de son corps dévoilé, il y a les dialogues truffés d'évidentes allusions sexuelles. Car les garants de l'ordre moral avaient l'oeil à tout ; Gene KELLY raconte comment son duo avec Cyd CHARISSE dans "Chantons sous la pluie" fut tronqué : " Nous avons dû faire un certain nombre de coupures au moment où elle m'entoure de ses jambes, ce que font régulièrement les danseurs sur scène. Les censeurs au cinéma étaient toujours très actifs et dirent simplement : "Ne pas lui permettre d'enrouler ses jambes au niveau de votre taille." Quelques années plus tôt, ils n'avaient pu laisser passer "Le Banni". L'histoire de Billy the Kid et Doc Holliday couchant avec la même femme pouvait, il est vrai, apparaître comme très amorale. Et puis le producteur, Howard Hughes, n'avait renoncé à aucune provocation : selon la publicité du film, la poitrine atomique de la débutante Jane RUSSELL " constituait deux bonnes raisons d'aller voir le film "… Tourné en 1943, il ne fut vraiment exploité qu'en 1950. Alors pourquoi tant de complaisance à l'égard de Rita HAYWORTH ? Sa popularité dans les rangs des G.I.'s y fut sans doute pour quelque chose. L'influence du nabab Harry COHN, patron de la Columbia, dut également être déterminante. Harry COHN était le découvreur de Rita, qu'il poursuivait de ses ardeurs (sans succès, paraît-il). Obsédé par Rita au point de faire poser des micros dans sa loge pour qu'aucun aspect de sa vie ne lui échappe… " Elle est trop belle pour rester seule ", avait prévenu Ballin MUNDSON (son mari) au début de "Gilda". La femme est le passé de l'homme. Avant tout, il y eut Louise BROOLS et Marlène DIETRICH. Loulou et Lola-Lola ("L'Ange Bleu") préparent l'éclosion des femmes fatales des années 40. Prédatrices, mantes religieuses, elles asservissent l'homme, le dupent. Dans leurs bras, il n'est plus qu'un pantin. Tandis que Loulou, femme libérée avant l'heure, multiplie les conquêtes, Lola- Lola torture le malheureux professeur Rath qui, subjugué, a eu le tort de l'épouser.  Rita HAYWORTH construit son personnage sur cet héritage fertile. Peut-être moins mêlée au crime que Lana TURNER ou Barbara STANWYCK, elle est sans conteste une vamp : une femme calculatrice et mystérieuse, qui joue de sa séduction, " mi-dévoreuse, mi-dévorée, désinvolte et traquée (…), dure à l'égard du milieu qui l'entoure, aussi experte dans le chantage et le vice que dans les armes à feu. " Contrairement à GARBO et à TIERNEY, elle n'est pas une créature inaccessible. Elle est un corps brûlant de sensualité. Mais un corps qui laisse des souvenirs douloureux. Geoff CARTER (Cary GRANT dans "Seuls les Anges ont des ailes") et Johnny FARRELL (Glenn FORD dans "Gilda") en savent quelque chose. Ils retrouvent tous deux leur " ex " sur leur chemin au moment où ils s'y attendent le moins. Et ça ne leur fait pas plaisir. CARTER comme FARRELL sont devenus d'affreux misogynes. " Avec lui les femmes se brûlent les doigts " prévient Thomas MITCHELL en parlant de CARTER. " Le nombre de femmes au monde n'est dépassé que par celui des insectes ", lui répond Glenn FORD dans "Gilda"...[...]  "Gilda"...Dans sa vie, Rita HAYWORTH a payé le prix de ce rôle : il est dangereux d'incarner un fantasme aussi puissant. Entre la pin-up et la femme fatale, elle incarna une beauté absolue, sulfureuse, provocante, inoubliable, un érotisme sophistiqué et un style unique qui la différencia des autres et en fit la femme fatale par excellence.  Autour de Rita / Comment l'érotisme arrogant de Rita n'a-t-il pas provoqué les censeurs ? En plus des postures de Rita, de son corps dévoilé, il y a les dialogues truffés d'évidentes allusions sexuelles. Car les garants de l'ordre moral avaient l'oeil à tout ; Gene KELLY raconte comment son duo avec Cyd CHARISSE dans "Chantons sous la pluie" fut tronqué : " Nous avons dû faire un certain nombre de coupures au moment où elle m'entoure de ses jambes, ce que font régulièrement les danseurs sur scène. Les censeurs au cinéma étaient toujours très actifs et dirent simplement : "Ne pas lui permettre d'enrouler ses jambes au niveau de votre taille." Quelques années plus tôt, ils n'avaient pu laisser passer "Le Banni". L'histoire de Billy the Kid et Doc Holliday couchant avec la même femme pouvait, il est vrai, apparaître comme très amorale. Et puis le producteur, Howard Hughes, n'avait renoncé à aucune provocation : selon la publicité du film, la poitrine atomique de la débutante Jane RUSSELL " constituait deux bonnes raisons d'aller voir le film "… Tourné en 1943, il ne fut vraiment exploité qu'en 1950. Alors pourquoi tant de complaisance à l'égard de Rita HAYWORTH ? Sa popularité dans les rangs des G.I.'s y fut sans doute pour quelque chose. L'influence du nabab Harry COHN, patron de la Columbia, dut également être déterminante. Harry COHN était le découvreur de Rita, qu'il poursuivait de ses ardeurs (sans succès, paraît-il). Obsédé par Rita au point de faire poser des micros dans sa loge pour qu'aucun aspect de sa vie ne lui échappe… " Elle est trop belle pour rester seule ", avait prévenu Ballin MUNDSON (son mari) au début de "Gilda". La femme est le passé de l'homme. Avant tout, il y eut Louise BROOLS et Marlène DIETRICH. Loulou et Lola-Lola ("L'Ange Bleu") préparent l'éclosion des femmes fatales des années 40. Prédatrices, mantes religieuses, elles asservissent l'homme, le dupent. Dans leurs bras, il n'est plus qu'un pantin. Tandis que Loulou, femme libérée avant l'heure, multiplie les conquêtes, Lola- Lola torture le malheureux professeur Rath qui, subjugué, a eu le tort de l'épouser.  Rita HAYWORTH construit son personnage sur cet héritage fertile. Peut-être moins mêlée au crime que Lana TURNER ou Barbara STANWYCK, elle est sans conteste une vamp : une femme calculatrice et mystérieuse, qui joue de sa séduction, " mi-dévoreuse, mi-dévorée, désinvolte et traquée (…), dure à l'égard du milieu qui l'entoure, aussi experte dans le chantage et le vice que dans les armes à feu. " Contrairement à GARBO et à TIERNEY, elle n'est pas une créature inaccessible. Elle est un corps brûlant de sensualité. Mais un corps qui laisse des souvenirs douloureux. Geoff CARTER (Cary GRANT dans "Seuls les Anges ont des ailes") et Johnny FARRELL (Glenn FORD dans "Gilda") en savent quelque chose. Ils retrouvent tous deux leur " ex " sur leur chemin au moment où ils s'y attendent le moins. Et ça ne leur fait pas plaisir. CARTER comme FARRELL sont devenus d'affreux misogynes. " Avec lui les femmes se brûlent les doigts " prévient Thomas MITCHELL en parlant de CARTER. " Le nombre de femmes au monde n'est dépassé que par celui des insectes ", lui répond Glenn FORD dans "Gilda"...[...]  "Gilda"...Dans sa vie, Rita HAYWORTH a payé le prix de ce rôle : il est dangereux d'incarner un fantasme aussi puissant. Entre la pin-up et la femme fatale, elle incarna une beauté absolue, sulfureuse, provocante, inoubliable, un érotisme sophistiqué et un style unique qui la différencia des autres et en fit la femme fatale par excellence.  Autour de Rita / Comment l'érotisme arrogant de Rita n'a-t-il pas provoqué les censeurs ? En plus des postures de Rita, de son corps dévoilé, il y a les dialogues truffés d'évidentes allusions sexuelles. Car les garants de l'ordre moral avaient l'oeil à tout ; Gene KELLY raconte comment son duo avec Cyd CHARISSE dans "Chantons sous la pluie" fut tronqué : " Nous avons dû faire un certain nombre de coupures au moment où elle m'entoure de ses jambes, ce que font régulièrement les danseurs sur scène. Les censeurs au cinéma étaient toujours très actifs et dirent simplement : "Ne pas lui permettre d'enrouler ses jambes au niveau de votre taille." Quelques années plus tôt, ils n'avaient pu laisser passer "Le Banni". L'histoire de Billy the Kid et Doc Holliday couchant avec la même femme pouvait, il est vrai, apparaître comme très amorale. Et puis le producteur, Howard Hughes, n'avait renoncé à aucune provocation : selon la publicité du film, la poitrine atomique de la débutante Jane RUSSELL " constituait deux bonnes raisons d'aller voir le film "… Tourné en 1943, il ne fut vraiment exploité qu'en 1950. Alors pourquoi tant de complaisance à l'égard de Rita HAYWORTH ? Sa popularité dans les rangs des G.I.'s y fut sans doute pour quelque chose. L'influence du nabab Harry COHN, patron de la Columbia, dut également être déterminante. Harry COHN était le découvreur de Rita, qu'il poursuivait de ses ardeurs (sans succès, paraît-il). Obsédé par Rita au point de faire poser des micros dans sa loge pour qu'aucun aspect de sa vie ne lui échappe… " Elle est trop belle pour rester seule ", avait prévenu Ballin MUNDSON (son mari) au début de "Gilda". La femme est le passé de l'homme. Avant tout, il y eut Louise BROOLS et Marlène DIETRICH. Loulou et Lola-Lola ("L'Ange Bleu") préparent l'éclosion des femmes fatales des années 40. Prédatrices, mantes religieuses, elles asservissent l'homme, le dupent. Dans leurs bras, il n'est plus qu'un pantin. Tandis que Loulou, femme libérée avant l'heure, multiplie les conquêtes, Lola- Lola torture le malheureux professeur Rath qui, subjugué, a eu le tort de l'épouser.  Rita HAYWORTH construit son personnage sur cet héritage fertile. Peut-être moins mêlée au crime que Lana TURNER ou Barbara STANWYCK, elle est sans conteste une vamp : une femme calculatrice et mystérieuse, qui joue de sa séduction, " mi-dévoreuse, mi-dévorée, désinvolte et traquée (…), dure à l'égard du milieu qui l'entoure, aussi experte dans le chantage et le vice que dans les armes à feu. " Contrairement à GARBO et à TIERNEY, elle n'est pas une créature inaccessible. Elle est un corps brûlant de sensualité. Mais un corps qui laisse des souvenirs douloureux. Geoff CARTER (Cary GRANT dans "Seuls les Anges ont des ailes") et Johnny FARRELL (Glenn FORD dans "Gilda") en savent quelque chose. Ils retrouvent tous deux leur " ex " sur leur chemin au moment où ils s'y attendent le moins. Et ça ne leur fait pas plaisir. CARTER comme FARRELL sont devenus d'affreux misogynes. " Avec lui les femmes se brûlent les doigts " prévient Thomas MITCHELL en parlant de CARTER. " Le nombre de femmes au monde n'est dépassé que par celui des insectes ", lui répond Glenn FORD dans "Gilda"...[...]  "Gilda"...Dans sa vie, Rita HAYWORTH a payé le prix de ce rôle : il est dangereux d'incarner un fantasme aussi puissant. Entre la pin-up et la femme fatale, elle incarna une beauté absolue, sulfureuse, provocante, inoubliable, un érotisme sophistiqué et un style unique qui la différencia des autres et en fit la femme fatale par excellence.  Autour de Rita / Comment l'érotisme arrogant de Rita n'a-t-il pas provoqué les censeurs ? En plus des postures de Rita, de son corps dévoilé, il y a les dialogues truffés d'évidentes allusions sexuelles. Car les garants de l'ordre moral avaient l'oeil à tout ; Gene KELLY raconte comment son duo avec Cyd CHARISSE dans "Chantons sous la pluie" fut tronqué : " Nous avons dû faire un certain nombre de coupures au moment où elle m'entoure de ses jambes, ce que font régulièrement les danseurs sur scène. Les censeurs au cinéma étaient toujours très actifs et dirent simplement : "Ne pas lui permettre d'enrouler ses jambes au niveau de votre taille." Quelques années plus tôt, ils n'avaient pu laisser passer "Le Banni". L'histoire de Billy the Kid et Doc Holliday couchant avec la même femme pouvait, il est vrai, apparaître comme très amorale. Et puis le producteur, Howard Hughes, n'avait renoncé à aucune provocation : selon la publicité du film, la poitrine atomique de la débutante Jane RUSSELL " constituait deux bonnes raisons d'aller voir le film "… Tourné en 1943, il ne fut vraiment exploité qu'en 1950. Alors pourquoi tant de complaisance à l'égard de Rita HAYWORTH ? Sa popularité dans les rangs des G.I.'s y fut sans doute pour quelque chose. L'influence du nabab Harry COHN, patron de la Columbia, dut également être déterminante. Harry COHN était le découvreur de Rita, qu'il poursuivait de ses ardeurs (sans succès, paraît-il). 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Peut-être moins mêlée au crime que Lana TURNER ou Barbara STANWYCK, elle est sans conteste une vamp : une femme calculatrice et mystérieuse, qui joue de sa séduction, " mi-dévoreuse, mi-dévorée, désinvolte et traquée (…), dure à l'égard du milieu qui l'entoure, aussi experte dans le chantage et le vice que dans les armes à feu. " Contrairement à GARBO et à TIERNEY, elle n'est pas une créature inaccessible. Elle est un corps brûlant de sensualité. Mais un corps qui laisse des souvenirs douloureux. Geoff CARTER (Cary GRANT dans "Seuls les Anges ont des ailes") et Johnny FARRELL (Glenn FORD dans "Gilda") en savent quelque chose. Ils retrouvent tous deux leur " ex " sur leur chemin au moment où ils s'y attendent le moins. Et ça ne leur fait pas plaisir. CARTER comme FARRELL sont devenus d'affreux misogynes. " Avec lui les femmes se brûlent les doigts " prévient Thomas MITCHELL en parlant de CARTER. " Le nombre de femmes au monde n'est dépassé que par celui des insectes ", lui répond Glenn FORD dans "Gilda"...[...]  "Gilda"...Dans sa vie, Rita HAYWORTH a payé le prix de ce rôle : il est dangereux d'incarner un fantasme aussi puissant. Entre la pin-up et la femme fatale, elle incarna une beauté absolue, sulfureuse, provocante, inoubliable, un érotisme sophistiqué et un style unique qui la différencia des autres et en fit la femme fatale par excellence.  Autour de Rita / Comment l'érotisme arrogant de Rita n'a-t-il pas provoqué les censeurs ? En plus des postures de Rita, de son corps dévoilé, il y a les dialogues truffés d'évidentes allusions sexuelles. Car les garants de l'ordre moral avaient l'oeil à tout ; Gene KELLY raconte comment son duo avec Cyd CHARISSE dans "Chantons sous la pluie" fut tronqué : " Nous avons dû faire un certain nombre de coupures au moment où elle m'entoure de ses jambes, ce que font régulièrement les danseurs sur scène. Les censeurs au cinéma étaient toujours très actifs et dirent simplement : "Ne pas lui permettre d'enrouler ses jambes au niveau de votre taille." Quelques années plus tôt, ils n'avaient pu laisser passer "Le Banni". L'histoire de Billy the Kid et Doc Holliday couchant avec la même femme pouvait, il est vrai, apparaître comme très amorale. Et puis le producteur, Howard Hughes, n'avait renoncé à aucune provocation : selon la publicité du film, la poitrine atomique de la débutante Jane RUSSELL " constituait deux bonnes raisons d'aller voir le film "… Tourné en 1943, il ne fut vraiment exploité qu'en 1950. Alors pourquoi tant de complaisance à l'égard de Rita HAYWORTH ? Sa popularité dans les rangs des G.I.'s y fut sans doute pour quelque chose. L'influence du nabab Harry COHN, patron de la Columbia, dut également être déterminante. Harry COHN était le découvreur de Rita, qu'il poursuivait de ses ardeurs (sans succès, paraît-il). Obsédé par Rita au point de faire poser des micros dans sa loge pour qu'aucun aspect de sa vie ne lui échappe… " Elle est trop belle pour rester seule ", avait prévenu Ballin MUNDSON (son mari) au début de "Gilda". La femme est le passé de l'homme. Avant tout, il y eut Louise BROOLS et Marlène DIETRICH. Loulou et Lola-Lola ("L'Ange Bleu") préparent l'éclosion des femmes fatales des années 40. Prédatrices, mantes religieuses, elles asservissent l'homme, le dupent. Dans leurs bras, il n'est plus qu'un pantin. Tandis que Loulou, femme libérée avant l'heure, multiplie les conquêtes, Lola- Lola torture le malheureux professeur Rath qui, subjugué, a eu le tort de l'épouser.  Rita HAYWORTH construit son personnage sur cet héritage fertile. Peut-être moins mêlée au crime que Lana TURNER ou Barbara STANWYCK, elle est sans conteste une vamp : une femme calculatrice et mystérieuse, qui joue de sa séduction, " mi-dévoreuse, mi-dévorée, désinvolte et traquée (…), dure à l'égard du milieu qui l'entoure, aussi experte dans le chantage et le vice que dans les armes à feu. " Contrairement à GARBO et à TIERNEY, elle n'est pas une créature inaccessible. Elle est un corps brûlant de sensualité. Mais un corps qui laisse des souvenirs douloureux. Geoff CARTER (Cary GRANT dans "Seuls les Anges ont des ailes") et Johnny FARRELL (Glenn FORD dans "Gilda") en savent quelque chose. Ils retrouvent tous deux leur " ex " sur leur chemin au moment où ils s'y attendent le moins. Et ça ne leur fait pas plaisir. CARTER comme FARRELL sont devenus d'affreux misogynes. " Avec lui les femmes se brûlent les doigts " prévient Thomas MITCHELL en parlant de CARTER. " Le nombre de femmes au monde n'est dépassé que par celui des insectes ", lui répond Glenn FORD dans "Gilda"...[...]  "Gilda"...Dans sa vie, Rita HAYWORTH a payé le prix de ce rôle : il est dangereux d'incarner un fantasme aussi puissant. Entre la pin-up et la femme fatale, elle incarna une beauté absolue, sulfureuse, provocante, inoubliable, un érotisme sophistiqué et un style unique qui la différencia des autres et en fit la femme fatale par excellence.
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#Posté le samedi 17 novembre 2012 02:44

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